Florin NAGY
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Golgotha
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ici et maintenant
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Exposition de l’oeuvre « Golgotha ici et maintenant », représentation contemporaine de la Crucifixion, huile sur toile 120x160cm
Objectifs du projet : Exposer l’oeuvre à travers les églises et cathédrales françaises et européennes.
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Lieux d’expositions validés :
Eglise Sainte Elisabeth de Hongrie, Paris, France (du 25 février au 25 mars 2015), lien vers le site ici
Cathédrale Notre Dame d’Anvers, Anvers, Bruxelles (du 27 mars au 29 avril, Semaine Sainte et peut-être 3 semaines supplémentaires), lien vers le site ici
Cathédrale Notre-Dame de Rouen, France (du 2 mai au 1er juin), lien vers le site
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Rendez-vous prévus : Notre Dame du Havre …
Peintre depuis l’âge de treize ans, Florin Nagy nous ouvre les portes d’un nouvel univers. Il explore celui-ci avec sa toute première peinture d’une série qui s’annonce forte en symboles et représentative de son époque. C’est dans la peinture sacrée, reprenant des scènes religieuses, que Florin Nagy a décidé de nous transporter.
L’esprit d’appel au devoir et de demande du Pape d’aller vers une « Nouvelle Evangélisation », celle du 21ème siècle, prenant en compte l’évolution des sociétés, pratiques, mentalités et habitudes que l’Homme connaît au cours de sa vie, est un des leitmotiv de ce projet.
L’objectif de cette composition : S’identifier, se familiariser, croyants ou non, aux scènes religieuses à travers la peinture. La peinture religieuse fut toujours révélatrice de l’époque dans laquelle elle s’inscrivait. Les maîtres Raphael, Rubens ou encore Caravage ont utilisé les codes propres à leur siècle pour apporter la foi ; en illustrant et racontant la Bible quitte à parfois déranger en créant une œuvre complètement nouvelle dans ses interprétations, couleurs ou messages. C’est dans cette lignée que s’inscrit « Golgotha, ici et maintenant ». L’objectif est aussi, à travers « Golgotha, ici et maintenant », d’offrir aux hommes qui la regardent, la preuve par son illustration la plus réaliste, que Jésus est toujours là, intemporel, se sacrifiant pour l’Homme en donnant la vie mais aussi l’espoir, le pardon et la foi à chaque instant, dans notre époque et dans nos vies.
La composition est séparée en deux parties par le corps du Christ, à droite et à gauche l’artiste présente deux groupes de personnages ; composition ressemblant à la Dernière Scène de Léonard De Vinci.
Le Christ, se détachant sur un grand fond obscur en référence à l’éclipse décrire par l’évangéliste Luc, ferme des yeux, semble encore vivant. Sa tête ceinte par une fine couronne d’épine est auréolée par une lumière claire. Le décor favorise la concentration de l’œil sur le Christ, éclairé comme seul sujet d’adoration. Le titulus comprend l’intitulé en langue latine. Les dix personnages au pied de la croix, forment un ensemble racontant la scène de la crucifixion.
Au pied de la croix la Vierge Marie nous transmet la souffrance de la perte d’un enfant. A la droite du Christ, représenté avec le gilet des bénévoles de l’Ordre de Malte, Jean-Baptiste tend les mains vers le Christ. Jean-Baptiste, aussi saint patron de l’Ordre prend donc dans la composition la place qui lui est propre.
Marie Madeleine présente à la droite proche du Christ, tentant de soigner ses souffrances, fut présente lors de la crucifixion et jusqu’à la fin de sa vie. La femme militaire tenant Marie Madeleine et Jean-Baptiste représente un soldat romain. Ce rôle majoritairement masculin est ici exercé par une femme en vue d’appuyer la mixité de nos sociétés contemporaines.
Le gouverneur romain Pilate jugea Jésus non coupable, c’est pourquoi la justice est représentée par une avocate. Les deux soldats romains, représentés par des policiers empêchent la justice de faire son travail en lui barrant le passage mais aussi en tentant de lui éviter de toucher le Christ et donc de le délivrer.
Les trois personnages munies d’objets numériques (appareils photos et téléphones portables) représentent des villageois qui sont passés au Golgotha lors de la crucifixion. Ils illustrent notre société immortalisant toutes scènes inhabituelles dans notre quotidien et font également référence aux « paparazzis ».
L’artiste, Florin NAGY
Le dessin chez Florin a toujours été présent dans sa vie, impressionnant ses proches mais aussi son large entourage. N’ayant pas reçu d’éducation artistique officielle la peinture s’est développée au fur et à mesure de ses rencontres artistiques de qualité mais aussi et surtout grâce à son apprentissage individuel. Etudiant de longues heures les plus grands tableaux de l’Histoire, Florin développe son œil et son coup de pinceau.
Sa carrière de peintre en Roumanie commence par la reproduction d’œuvres incontournables de la Renaissance, de la période Baroque mais aussi des œuvres personnalisées répondant à des commandes.
Ses rapports à l’Eglise sont nombreux : il reçoit notamment en 2005 le projet de peinture de l’Autel de l’Eglise Saint Jean-Baptiste dans la banlieue de Arad, ville située à proximité de la Hongrie. De plus, son arrière-grand-père est le fondateur de la première église Roumaine dans cette petite région proche de la Hongrie, plus particulièrement de la « Fille Sainte ».
Attiré depuis toujours par le foisonnement artistique de Paris, par la présence des œuvres mythiques et intemporelles de la capitale, Florin s’installe à Paris en octobre 2009
A son arrivée à Paris, Florin est très actif dans la vie artistique. Il commence à exposer au cœur de Paris dans la Galerie Kalinka située dans le 1er arrondissement ; aux côtés de maîtres de l’école russe des Beaux-Arts de Moscou. Son talent et remarqué par la galeriste Lila Pepino qui l’expose alors à proximité du palais de l’Elysée, rue de Miromesnil dans le 8ème, aux côtés d’artistes prestigieux comme Bernard Buffet ou Charles Lapicque. S’ensuit alors une série de plusieurs expositions dans diverses galeries parisiennes.* Le dossier complet du projet peut être téléchargé ici.
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