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La Galerie Thaddaeus Ropac est ravie d’accueillir pour la première fois une exposition personnelle du peintre roumain Adrian Ghenie (FR)

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Adrian Ghenie Self-Portrait Smoking, 2015
Oil on canvas. 230 x 160 cm (90,55 x 62,99 in)

Photo: Jörg von Bruchhausen

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ADRIAN
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GHENIE
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22 OCT 21 NOV 2015
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PARIS MARAIS
 

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La galerie Thaddaeus Ropac est ravie d’accueillir pour la première fois une exposition personnelle du peintre roumain Adrian Ghenie.

Les œuvres de cet artiste qui a grandi dans la Roumanie de Nicolae Ceaucescu reviennent souvent sur les heures les plus sombres de l’Europe d’après-guerre et les acteurs majeurs de son histoire. Les souvenirs personnels ou collectifs, les scènes de films, les images glanées sur Internet et les renvois à l’histoire de l’art se fondent dans la trame de ses tableaux. Il parle de « peindre le grain de l’histoire » et son désir de recréer les aspérités du passé nourrit la facture extraordinairement expressive de ses toiles.

Adrian Ghenie présente dans l’espace du Marais un ensemble de dix tableaux récents où sa propre personne occupe le premier plan. C’est un thème central de son travail depuis 2010, qui trouve son aboutissement dans une vingtaine d’Autoportraits, oscillant entre l’exploration du moi et la création d’hybrides tels que l’Autoportrait en Vincent van Gogh, l’Autoportrait en Charles Darwin et l’Autoportrait en singe, tous réalisés en 2014.

Un catalogue rédigé par l’historien de l’art James Hall sera publié en complément de cette exposition.

Partagez vos impressions sur les réseaux sociaux avec @ThaddaeusRopac et le hashtag #AdrianGhenie

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Galerie Thaddaeus Ropac is delighted to announce its first solo exhibition of paintings by Romanian artist Adrian Ghenie.

Brought up in post-Ceausescu Romania, Adrian Ghenie’s work often dwells on the darker moments of post-war European history and the personalities whose actions have defined its course. Collective and personal memories, film stills, images culled from the Internet and art historical references are cut out and fused to make up the fabric of his paintings. Adrian Ghenie speaks of “painting the texture of history” and it is his fascination in recapturing these lost textures that give rise to the artist’s extraordinarily expressive use of paint.

The gallery in the Marais will present a group of ten new oil paintings in which the “self” takes center stage. This subject has been a central theme for the artist since 2010 culminating in just over twenty distinct “Self-Portraits”. Comprising of either pure investigations of his own self-image or hybrids such a Self-Portrait as Vincent Van Gogh (2014), Self-Portrait as Charles Darwin (2014) and Self-Portrait as a Monkey (2014).

A book will be published to accompany this exhibition with an essay by art historian James Hall.

Share your thoughts on social media with @ThaddaeusRopac and the hashtag #AdrianGhenie

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GALERIE THADDAEUS ROPAC
69, AVENUE DU GÉNÉRAL LECLERC
FR-93500
PANTIN
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HORAIRES D’OUVERTURE
MARDI-SAMEDI, 10H À 19H
CAFÉ BLEU : 11H Á 18H
TEL ..
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, pictural, réflexion, vernissage Tagged: 69 AVENUE DU GÉNÉRAL LECLERC, Adrian Ghenie, Charles Darwin, Galerie Thaddaeus Ropac, James Hall, La Galerie Thaddaeus Ropac est ravie d’accueillir pour la première fois une exposition personnelle du peintre roumain Adrian Gheni (FR), Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Montage: Boucher et Lecland, Nicolae Ceaucescu, Paris Marais, Self-Portrait Smoking, Vincent van Gogh

« L’imposture de l’art contemporain – Une utopie financière » par Aude de KERROS (Eyrolles)‏

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Cadre.
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L’imposture de l’art contemporain
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Une utopie financière
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par Aude de KERROS
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À paraître
13.11.15
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Dans le sillage de L’Art caché – Les dissidents de l’art contemporain -paru en 2007-, le décryptage de la contribution hexagonale à la « fabrique » d’un « art » contemporain mué en produit financier : un mécanisme aux rouages actionnés en réseau, entre marché et décision publique, au profit exclusif -sonnant et trébuchant- d’une poignée d’investisseurs et d’auteurs, au détriment de la partie immergée, majorité écrasante de la scène artistique, toujours moins silencieuse.

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Anish Kapoor, Jeff Koons, Xavier Veilhan, Paul MacCarthy, Daniel Buren… Les œuvres d’artistes d’aujourd’hui sont omniprésentes dans le paysage urbain des métropoles ainsi que dans le cadre des musées, sites et monuments patrimoniaux. Dans la sphère médiatique, également, laquelle a largement relayé les récents actes répétés de vandalisme dont certaines d’entre elles ont fait l’objet.

À l’intention du plus large public interpellé par cette actualité symptomatique et intéressé par la création dans le champ des arts plastiques et les débats qui le traversent ou curieux des enjeux des politiques culturelles, Aude de KERROS délivre clés et ressorts des phénomènes en cours dont elle propose une lecture analytique et critique, étayée par une abondante documentation et fourmillant d’exemples.

Un regard incisif et sans concession, à rebours de la rhétorique manichéenne et conformiste comme des raccourcis idéologiques, pour un essai revigorant autant que salutaire, ambitieux dans ses contours, inédit par son angle factuel.

Une approche tout à la fois rétrospective -métamorphoses de la décennie écoulée-, panoramique -large spectre sur la production actuelle en France- et prospective -scénarios d’éclatement à terme de la « bulle » spéculative-.

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Interview d’Aude de KERROS 
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par Jack Moyal :
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. https://www.youtube.com/watch?v=oxCulpPrfGc
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Diplômée en droit et sciences politiques, Aude de KERROS a imposé depuis plus d’une décennie sa singularité d’essayiste de renom dans le domaine de la création artistique dont elle s’attache à restituer et faire connaître l’évolution « souterraine ». Ancienne pensionnaire de la Fondation Konrad Adenauer, lauréate de l’Institut de France (Prix de portrait Paul-Louis Weiller 1988), graveur et peintre dont les œuvres figurent au catalogue des collections du National Museum of Women in the Arts de Washington et du département des Estampes et de la photographie de la BNF, notamment, Aude de KERROS a présenté plus de quatre-vingts expositions en France et en Europe. Contributrice à divers supports de médias, auteur ou coauteur de plusieurs ouvrages, lauréate 2012 du Prix Adolphe-Boschot de l’Académie des Beaux-Arts pour Sacré art contemporain – Évêques, inspecteurs et commissaires (Jean-Cyrille Godefroy / 2012), elle a par ailleurs publié -avec Marie SALLANTIN et Pierre Marie ZIEGLER-, 1983 – 2013 Les Années noires de la peinture Une mise à mort bureaucratique ? (Pierre-Guillaume de Roux / 2013) et L’Art caché – Les dissidents de l’art contemporain (Eyrolles / nouvelle édition 2013). [atelier.audedekerros.fr / bibliotheque.audedekerros.fr]

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http://www.editions-eyrolles.com/

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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, auteur, Édition Eyrolles, édition, éditions, critique, critique d’art, Culture et Société, débats, dialogues, exposition, installation, pictural, réflexion Tagged: "L’imposture de l’art contemporain - Une utopie financière" par Aude de KERROS (Eyrolles)‏, Anish Kapoor, Aude de Kerros, Édition Eyrolles, Daniel Buren, Eyrolles, Jack Moyal, Jean-Cyrille Godefroy, Jeff Koons, L’imposture de l’art contemporain Une utopie financière, Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Marie Sallantin, Montage: Boucher et Lecland, Paul MacCarthy, Pierre- Marie Ziegler, Xavier Veilhan

JR “ELLIS” STARRING ROBERT DE NIRO AND WRITTEN BY ERIC ROTH & POP UP EXHIBITION, NEW YORK‏ (USA)

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 View of the exhibition. Photo: Guillaume Ziccarelli
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 ELLIS
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Starring
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Robert De Niro 
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and written by
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Eric Roth
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October 24 – November 8, 2015
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Galerie Perrotin, New York is honoured to present the film “ELLIS” directed and produced by JR, written by Eric Roth, starring Robert De Niro (music by Woodkid and Nils Frahm), and an exhibition of photographs by JR of his recent series “Unframed Ellis Island” which document a permanent installation which animates, enlivens and offers unprecedented access to New York’s Ellis Island Immigrant Hospital. In this specific context, JR has directed the film “ELLIS” where Robert De Niro embodies the history of the place.

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Open to the public for the first time since 1954, the Ellis Island Immigrant Hospital facilitated the passage of a massive wave of immigration to the United States from 1902 to 1930. All told, over a million patients deemed too ill for immediate naturalization would pass through its walls. Having to screen for and treat a veritable catalogue of diseases from around the world would transform the hospital, the first public health facility in the country, into a test-case for then state-of-the art sterilization and diagnostic procedures. The program proved effective, though following tightened restrictions on immigration in the 1930s, the facility was repurposed to house disabled soldiers and, later, as a detention center for Axis prisoners following the Second World War. In 1954, outmoded and disused, the Hospital was shuttered, abandoned, and, until recently, largely forgotten.

Today, the Ellis Island Immigrant Hospital stands much as it was abandoned; but after sixty years of silence and disrepair, local vegetation has begun to reclaim the grounds, introducing grass and vine to what must’ve once been a starkly modern facility. As the former setting for the confluence of illness and recovery, health and death, of prisoners and heroes, aspirations and disappointments, if any place might be said to be haunted, Ellis Island Hospital certainly meets all criteria. And it is from this heavily charged genius loci that JR, in coordination with Save Ellis Island, has undertaken “Unframed Ellis Island.” As with previous Unframed projects — G rottaglie, Italy (2009), Vevey, Switzerland (2010), Sao Paulo, Brazil (2011), Washington, USA (2012), Marseille, France (2013), Baden Baden (2014) et Lille (2015)– JR does not compose his own photographs, but instead recuts existing photography, excising figures and portraits from their frames to recompose them in unexpected locales and public settings. The overall effect is equal parts stagecraft and public art, recalling the original photographs while redeploying them in such a way as to give them new life on confrontation with their viewers. With “Unframed Ellis Island” the manner in which the original subjects of JR’s source material are granted new life is perhaps even more direct: Culled from hospital archives, JR has repopulated the hospital with its former inmates, rendering its “ghosts” present and visible, and, in so doing, de-mystifying the very real sense in which the hospital is haunted with its own redolent history. Here, JR is less the artist as historian than he is artist as exorcist or ghost-seer, reconciling past, present, and viewer in artful communion.

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Beginning his artistic career at the age of 17, JR happened upon a camera on the Paris subway and began pasting portraits in the eastern suburbs of Paris, Montfermeil, Les Bosquets in 2004.

Since then, JR creates monumental photographs that he pastes around the world, infiltrating in urban life anonymous portraits, witnesses of the present and the past – “Women are Heroes” in Rio de Janeiro, Jaipur, Nairobi (2008-2010), which gave its title to JR’s movie that was selected at the Festival de Cannes in 2010; “The Wrinkles of the City” in Cartagena, Shanghai, Los Angeles, La Havana, Berlin and Istanbul (2008-2015).

JR reveals art by action, displaying his gigantic prints over the suburban buildings of Paris (“28 Millimètres, Portrait of a Generation”, 2004-2006), on walls in the Middle East (“Face 2 Face”, 2007) or in the United States, in the favela Morro da Providencia in Brazil (“28 Millimètres, Women Are Heroes”, 2008) or on the roofs in Kibera, Kenya (“28 Millimètres : Women are Heroes”, 2009), on the facade of Tate Modern in London…

He received the prestigious TED Prize in 2011 that offered him to make a “wish to change the world”. With the INSIDE OUT Project, JR brings together and prints portraits, as messages of personal identity (www.insideoutproject.net). On this occasion, photobooths printing large-scale selfportraits were seen during the summer in various places of the globe, including Paris (Centre Pompidou, Galerie Perrotin), Arles (Rencontres de la Photographie), Tel Aviv or Ramallah, and Hong Kong at Galerie Perrotin in 2012; furthermore photobooth trucks travels around the world such as in Japan (2011), Amsterdam, London, at Times Square, NYC, at Palais de TokyoTokyo, Paris (2013), around Shanghai in 2014, etc. Solo shows of JR’s work have been exhibited in galleries and museums worldwide, including The Rath Museum in Geneva, Tokyo’s Watari Museum, The Contemporary Art Museum in Dallas, The Contemporary Arts Center in Cincinnati, the Museum Frieder Burda, Baden-Baden, Germany, Power Station of Arts in Shanghai, and “Au Panthéon”, a monumental installation surrounds the drum of the Pantheon’s dome until the end of its renovation

In 2014, when invited to produce a work for the New York City Ballet (NYCB), JR persuaded Peter Martins, director of the David Koch Theater, to put on a choreographic piece about the history of Cité des Bosquets in Clichy-Montfermeil, at the outskirts of Paris, and the riots of 2005. Featuring Lil Buck and Lauren Lovette, this ballet created by JR for the New York City Ballet in 2014 became a film “Les Bosquets” that he has shot onsite in Clichy-Montfermeil in 2015 with the ballet corps of the Opéra National de Paris.

A 120 page book created with Art Spiegelman “The Ghosts of Ellis Island” has been launched in April 2015 by Damiani. A 296 page & 500 illustration monograph on JR has been published in October by Phaidon, “JR: CAN ART CHANGE THE WORLD?”, with a graphic novel by Joseph Remnant and an essay by Nato Thompson.

On sale at the bookshop of the Gallery.

 

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130 Orchard Street
Lower East Side
New York, NY
10002
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 Opening Hours:

Wednesday – Sunday, 12pm-6pm


Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, film d'auteur, Films, image numérique, installation, photographie, pictural, projection, projections, rédacteur, réflexion, Texte, Vidéo Tagged: 130 Orchard Street Lower East Side, 2004-2006), 2007) or in the United States, 2008) or on the roofs in Kibera, “The Wrinkles of the City” in Cartagena, Berlin and Istanbul (2008-2015)., ELLIS, Eric Roth, Galerie Perrotin, Guillaume Ziccarelli, Joseph Remnant, JR “ELLIS” STARRING ROBERT DE NIRO AND WRITTEN BY ERIC ROTH & POP UP EXHIBITION, Kenya (“28 Millimètres : Women are Heroes”, La Havana, Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Los Angeles, Montage: Boucher et Lecland, Nato Thompson, new york ny, NEW YORK‏ (USA), on walls in the Middle East (“Face 2 Face”, Portrait of a Generation, Robert De Niro, Shanghai, Women Are Heroes

Exposition collective Bleu / Galerie du Théâtre-Magog-art contemporain (CA)

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3 CLAUDE CHAUSSARD Opus 2007 Trait de craie dim 56 x 76 cm Réf O6 Photo Guy L'Heureux ADAGP.
CLAUDE CHAUSSARD « Opus » 2007
Trait de craie 56 x 76 cm
Réf O6 Photo
©Guy L’Heureux ADAGP

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Jusqu’au
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15.11.15
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Malgosia Bajkowska, Claude Chaussard, Thomas Corriveau, Cozic, Arnaud Gosselin, Isabelle Leduc et Arthur Munk.

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BLEU est une exposition collective qui donne à voir un corpus d’une quarantaine d’œuvres autour de la couleur bleue ; sept expressions différentes mais en totale harmonie. Le bleu est silencieux, il défie souvent le langage pictural. Cette exposition compte dévoiler des métamorphoses conceptuelles qui indiquent comment les artistes transforment notre expérience chromatique.

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Malgosia Bajkowska a une démarche fondée sur une recherche picturale abstraite et minimaliste à partir de figures et formes géométriques simples sur fonds monochromes. Elle questionne dans sa pratique le pouvoir de la répétition.

 

Claude Chaussard produit des dessins au cordeau se rapprochant à leur manière d’autant de partitions. Ici pourtant, pas de notes ni de lignes tracées en tant que telles mais plutôt des « jets » claqués au cordeau.

 

Thomas Corriveau déconstruit l’image, multiplie les points de vue et bouscule nos habitudes perceptuelles, inscrivant la vision comme activité liée à la temporalité et au mouvement.

 

Cozic Depuis les années 60, le duo Cozic explore le rapport entre la dimension ludique et le côté fortement connoté des idées et des matériaux qui composent leurs œuvres.

 

Arnaud Gosselin a une approche automatiste. Il peint sur la toile, sans idées préconçues, une image se forme tirée le plus souvent de l’univers de ses marches journalières dans la nature. Dans un rhizome, qui semble abstrait, on y devine les traces de pas de l’animal.

 

Isabelle Leduc Ni tout à fait peintures, ni tout à fait sculptures, ses reliefs peints en papiers fait-main, composent sur l’espace du mur une partition. Ces œuvres se lisent les unes aux autres tout en gardant chacune leur autonomie.

 

Arthur Munk insiste sur la nature indéterminée de figures élémentaires (s’agit-il d’abstraction géométrique? D’un élément dans l’espace? D’un volume construit?). Il questionne la valeur de toute supposition et rappelle qu’un jugement, qu’il soit formel ou non, est une négociation de champs de tension picturale.

 

Sources : Galerie Graff, René Viau, Arthur Munk, Jean-Michel Correia

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Galerie du Théâtre-Magog-Art contemporain‏
Au Vieux Clocher
84, rue Merry Nord -Suite 200
Magog (QC)
Canada J1X 2E6
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Les heures dʼaccueil sont de 13h à 18h du jeudi au dimanche
. Du lundi au mercredi : sur rendez-vous.
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, performances, photographie, pictural, réflexion Tagged: AGAC, Arnaud Gosselin, Arthur Munk, Association des galeries d’art contemporain (AGAC), Bleu, Canada, Claude Chaussard, Cozic, Exposition collective Bleu / Galerie du Théâtre-Magog-art contemporain, Galerie Graff, Guy L'heureux, Guy L'Heureux ADAGP, Isabelle Leduc, Jean-Michel Correia, Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Malgosia Bajkowska, Montage: Boucher et Lecland, René Viau, Thomas CORRIVEAU, ville de Magog

Roman Signer – Sculptures / ART : CONCEPT (FR)

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Roman Signer 
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30 oct – 21 nov 2015 
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Vernissage
29.10.15 
18:00 – 21:00
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Sculptures
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Célébrant plus de vingt ans de collaboration – et de concert avec une vive actualité au centre culturel suisse qui lui consacre un focus du 28 octobre au 1 er novembre – la galerie Art : Concept est heureuse de présenter la cinquième exposition personnelle de Roman Signer. Au travers d’un ensemble de nouvelles sculptures évocatrices, l’exposition convoque la plupart des objets emblématiques de l’œuvre de l’artiste suisse : parapluie, bottes en caoutchouc, horloge, kayak, ventilateur et bien d’autres.

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La place de l’objet est cruciale chez Roman Signer. Quel qu’il soit, souvent plutôt banal et fonctionnel, il devient le support de son imagination débordante. Et couplée à un besoin irrépressible de faire sa propre expérience, cette puissance imaginative ne se trouve pas limitée par les risques ou les dangers qu’elle pourrait engranger. Les expériences de Roman Signer dépassent de loin les rêves les plus fous des enfants les plus imaginatifs ; faire décoller des tables, défenestrer des chaises, jouer avec des explosifs ou bien encore suspendre un avion à quatre mètres du sol comme dans sa récente installation au KINDL à Berlin ( Kitfox Experimental , 2014). Le choix du ‘médium’ n’est jamais anodin. Il prend sa source dans le souvenir, heureux ou traumatisant. Pour Kitfox Experimental , l’artiste relate un épisode de jeunesse terrifiant lorsqu’un pilote d’avion simulât de faire plonger son engin dans sa direction.

Émanations de l’enfance peut-être, ses dispositifs n’ont pour autant rien d’enfantin. Les mécanismes derrière les pièces de Roman Signer sont complexes et leur succès repose sur une grande précision d’exécution. Décomposés, exposés et entièrement mis à nus, ce sont eux qui font œuvre. À certains égards conceptuelle, l’œuvre de Roman Signer est davantage celle d’un « physicien émotionnel » comme il aime à se définir. Dans une démarche qui évoque la philosophie poétique, « la chimie de la rêverie » de Gaston Bachelard ( La Psychanalyse du feu , 1938 ; L’Eau et les rêves , 1942 ; L’Air et les songes , 1943), il se fascine pour l’étude des éléments – l’air, l’eau, le feu notamment – et de leurs tensions avec l’univers technologique. Chez l’artiste comme chez le philosophe, il s’agit de dépasser l’opposition entre science et nature, en dévoilant et en s’appuyant sur les charges affectives et évocations poétiques que ces éléments naturels véhiculent.

Cependant ici, rien de spectaculaire, bien au contraire. Ces mêmes éléments sont convoqués dans une très grande sobriété : une cigarette qui se consume dans une cabine, ou des mouchoirs qui jaillissent d’un tube de métal, tous deux grâce à l’action d’un ventilateur. Le sensationnel a laissé place à une douce poésie teintée de mélancolie. Autrefois suspendus dans les airs, projetés depuis un hélicoptère en plein vol, les plus fidèles compagnons de route de l’artiste se retrouvent étrangement conditionnés comme de précieux souvenirs : un trio de parapluies dont l’ouverture semble contrainte par la boite qui les contient, un morceau de kayak préalablement découpé et disposé dans une caisse en aluminium. Devant cette mise en boite, la tentation analytique est grande. Réflexion rétrospective et nostalgique ? Clins d’œil ironiques ? L’artiste parvient avec autant de brio à déplacer notre attention de l’action principale. Machine à faire voyager dans le temps et l’espace, ce petit fragment de kayak propulse notre regard vers l’antérieur et l’absent. Car face à cela, comment ne pas se demander ce qu’il est advenu du reste ?

Julia Mossé

« Les axes de la poétique et de la science sont d’abord inverses. Tout ce que peut espérer la philosophie, c’est de rendre la poésie et la science complémentaires, de les unir comme deux contraires bien faits. » Gaston Bachelard, in La Psychanalyse du feu , 1938.

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Né en 1938 à Appenzell, Roman Signer vit et travaille à St Gallen, en Suisse. Son travail est présent dans de prestigieuses collections publiques, dont le musée d’art contemporain (MOCA), Los Angeles, le Kunstmuseum, St Gallen, le Kunsthaus, Zurich et le Musée national d’art moderne/Centre Pompidou, Paris. Ces dernières années, de nombreuses expositions personnelles lui ont été consacrées : Slow Movement , The Barbican Curve, Londres (2015) ; Kitfox Experimental , KINDL, Berlin (2014) ; Kayak , High Line Channel 22, New York et Mon voyage à Nantes , HAB Galerie, Nantes (2012) .

 

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ART : CONCEPT

4, passage Sainte-Avoye

(entrance 8, rue Rambuteau)

75003 PARIS
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T : +33 1 53 60 90 30
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OPENING HOURS: Tuesday – Saturday, 11 am – 7 am

Gallery will be closed until August 24, 2015

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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, performances, réflexion, sculpteur, sculpteurs, sculpture, vernissage Tagged: Art: Concept, Berlin (2014) ; Kayak, Gaston Bachelard, HAB Galerie, High Line Channel 22, Julia Mossé, KINDL, La Psychanalyse du feu - 1938, L’Eau et les rêves - 1942 ; L’Air et les songes - 1943), Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Londres (2015) ; Kitfox Experimental, Montage: Boucher et Lecland, musée d’art contemporain (MOCA) - Los Angeles, Musée national d’art moderne/Centre Pompidou, paris - france, Roman Signer, Roman Signer - Sculptures / ART : CONCEPT (FR), Slow Movement, St Gallen, The Barbican Curve

Claire Colin-Collin – Peintures du dehors / Galerie Djeziri-Bonn (FR)

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Claire
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 Colin-Collin
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Peintures du dehors
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06.11.15
05.12.15 
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 Vernissage
05.11.15
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Lorsque je me remémore les peintures de Claire Colin-Collin, je pourrais parler du rapport entre la forme et le fond, de l’inscription d’un motif abstrait qui à la fois reprend et contredit les contours du tableau, une manière finalement de renégocier les limites de cet espace. Je pourrais tenter de mettre des mots sur la qualité de présence de ces surfaces, sur la consistance de la couleur, son opacité, qui produit une sensation d’épaisseur plate. Je pourrais enfin me concentrer sur la manière dont les formes pleines se construisent par accumulation de traces et semblent issues d’un processus de solidification. Leurs densités et leurs masses tendent parfois à se dégager du plan pour donner l’impression trompeuse de volumes.

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Tout cela est juste, nécessaire et s’impose à notre regard, ce sont les éléments avec lesquels on pense en peinture et, indubitablement, il est question de cela dans l’oeuvre de Claire Colin-Collin. Mais dire cela n’est pas suffisant pour comprendre ce qu’il en est de ces formes étranges, indéfinissables – s’agit-il de motifs ? – qui surgissent dans la surface colorée du tableau.

Une autre singularité de cette œuvre, qui pour moi fait aussi son importance, réside dans son rapport au temps. Peinture archéologique, les recouvrements successifs de la couleur s’apparentent, comme autant de strates, à une épaisseur de temps. Les traces dont émerge une forme agissent comme une sédimentation que la peinture fait venir devant, remonter à la surface, mouvement d’apparition indissociable d’une disparition ou d’une possible dissolution. La peinture de Claire Colin-Colin est un acte de révélation au sens d’un désenfouissement.

Sphères patatoïdes, ébauches d’une construction plus géométrique – on serait tenté de voir dans une des oeuvres le fragment d’un abri –, lignes qui apparaissent comme la résurgence d’une délimitation intuitive d’un espace dans celui contraint du tableau : ce sont les formes premières d’une matière inchoative, en train de s’extraire de l’informe. Si l’apparition de la forme est indissociable d’un désir, celui-ci s’apparente à une mémoire inconsciente d’une origine perdue de la peinture. Claire Colin-Collin peint la survivance de la peinture.

Entendons-nous, il n’est pas question d’une pureté originelle et fantasmée mais au contraire d’une volonté de se situer en-deçà d’un signe déterminé pour rendre la peinture à la somme des strates physiques, organiques et psychiques qui la constituent. L’énergétique de son incarnation en continuité avec le monde, soumise à son dehors.

Romain Mathieu, octobre 2015

 

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Galerie Djeziri-Bonn – Linard Editions
47 rue de Turenne – 75003 Paris
 Métro : Saint-Paul ou Chemin Vert
Bus : 96 – 29 – 20 – 69 – 65
T : +33(0)9 52 04 50 80
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, pictural, réflexion, vernissage Tagged: Claire Colin-Collin, Claire Colin-Collin - Peintures du dehors / Galerie Djeziri-Bonn (FR), galerie Djeziri-Bonn, Galerie Djeziri-Bonn - Linard Editions, Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Montage: Boucher et Lecland, paris - france, Peintures du dehors, Romain Mathieu

Art passions – revue suisse d’Art et de culture – Change the world

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Art Passions
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# 43

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Change the World

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Des Objets parmi d’autres

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En art contemporain, une performance n’est ni un exploit ni le résultat quantifiable d’une action humaine, animale ou machinique, pour résumer la définition que donne du mot le Petit Robert en 1970. C’est du côté de l’anglais qu’il faut chercher le sens que ce mot suggère quand il désigne une forme d’activité proposée et reçue au nom de l’art. A performance, c’est un spectacle, une représentation. To perform, c’est accomplir, réaliser, jouer, chanter, danser, interpréter (une saynète ou une sonate, par exemple), c’est en un mot faire quelque chose soi-même en public…

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Christian Bernard

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Graeme Patterson – Starling Cage / Galerie 3 (CA)

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Starling Cage - One Legged 2015 (detaill) Fichier pour diffusion web
Graeme Patterson, Starling Cage One Legged (detail), 2015
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Du 30 octobre au 29 novembre 2015
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Vernissage
30.10.15
19 h
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La Galerie 3 est heureuse d’accueillir l’exposition Starling Cage de l’artiste Graeme Patterson, du 30 octobre au 29 novembre 2015. Le vernissage aura lieu le vendredi 30 octobre dès 19 h.

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Cette exposition est un hommage à un oiseau familier, l’étourneau, et une tentative ludique de créer une représentation virtuelle de son existence. Le projet implique le processus de création d’une animation image par image produisant des gestes réalistes de l’oiseau dans sa cage sous trois formes. D’abord, la pièce centrale de l’exposition intitulée Starling Cage est une oeuvre interactive où un étourneau interagit avec le spectateur en temps réel grâce à une logique programmée. Ensuite, l’exposition contient cinq captures en haute-résolution de cet environnement sous forme de photographies témoignant de l’activité de l’étourneau dans sa cage. Enfin, sept séquences d’images des gestes animés de l’étourneau ont été reproduites sur une édition de cinq foulards en soie. Les foulards et les photographies sont une référence au processus de création, mais surtout, comme l’oeuvre interactive, témoignent de l’intention de l’artiste de placer ce ravageur bien connu dans un cadre domestique pour nous rapprocher davantage de cet oiseau considéré comme nuisible à notre société.

Mariant installation, sculpture, modèle réduit, animation image par image, robotique et musique, l’oeuvre de Graeme Patterson nous plonge dans un univers aussi touchant que ludique. Fruits d’un processus de création lent et méticuleux, ses envoutantes propositions nous invitent dans un monde parallèle doté d’une forte charge émotive où le rêve côtoie le jeu, le souvenir et la nostalgie.

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Le travail de Graeme Patterson a présenté à la Beaverbrook Art Gallery (Fredericton, NB); à la Mendel Art Gallery (Saskatoon, SK); au Rodman Hall Art Centre (Saint Catharines, ON); à la Art Gallery of Hamilton (ON); à la Trépanier Baer Gallery (Calgary, AB); au Centre Des Arts d’Enghien-Les-Bains (France); au MASS MoCA (MA, É-U); à la galerie de l’UQAM (Montréal); à la Art Gallery of Nova Scotia; à la Southern Alberta Art Gallery; à la Surrey Art Gallery (BC). Il a également présenté ses films d’animation dans plusieurs festivals internationaux.

Ses oeuvres font parties des collections du Mackenzie Art Gallery (Regina, SK); du Glenbow Museum (Calgary, AB); du Beaverbrook Art Gallery (Fredericton, NB); du National Art Gallery (Ottawa, ON); du Mendel Art Gallery (Saskatoon, SK); de la Art Gallery of Nova Scotia (Halifax, NB) ainsi que de certaines collections privées. Graeme Patterson est né en 1980 à Saskatoon. Il vit et travaille à Sackville au Nouveau-Brunswick.

 

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Galerie 3
247, rue Saint-Vallier Est,
Québec, Canada
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Notez que nous sommes ouverts sur rendez-vous
en dehors de ces plages.
mercredi – dimanche 12:00h – 17:00h
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, photographie, pictural, réflexion, vernissage Tagged: Abdelilah Chiguer, Art Gallery of Hamilton (ON), Art Gallery of Nova Scotia, É-U), Beaverbrook Art Gallery (Fredericton, Centre Des Arts d'Enghien-Les-Bains (France), Glenbow Museum, Graeme Patterson, Graeme Patterson - Starling Cage / Galerie 3 (CA), Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), MASS MoCA (MA, Mendel Art Gallery (Saskatoon, Montage: Boucher et Lecland, National Art Gallery - Ottawa, NB), Norbert Langlois, ON), Pascal Champoux, Québec - Canada, Rodman Hall Art Centre (Saint Catharines, SK), Southern Alberta Art Gallery, Starling Cage, Starling Cage One Legged (detail), Surrey Art Gallery (BC), Trépanier Baer Gallery

Le Prix Ricard – billet d’humeur par Nicole Esterolle

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Le Prix Ricard
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Billet
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d’humeur
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Non, le Prix Ricard n’est pas non plus un fake ! Je vous joins ci-dessous la photo de l’œuvre du duo de jeunes schtroumpf émergents sur la scène artistique internationale, Florian Pugnaire et David Raffini lauréats du « Ricard Foundation prize »2015…Œuvre très engagée et sociétalement hyper-questionnante, puisqu’il semble que l’automobile que vous voyez ainsi écrabouillée était celle d’une buveur excessif du fameux pastaga dont l’abus comme chacun le sait nuit gravement à la santé physique et mentale… Chacun le sachant, oui, sauf ceux qui en boivent trop justement et dont le jugement gravement altéré leur fait prendre une voiture écrasée pour une œuvre d’art…

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Je soupçonne d’ailleurs le nommé Marc-Olivier Walher, employé au service de com de la maison Ricard comme curator détaché au Prix Ricard, de se torcher régulièrement au divin et populaire breuvage cher à feu Charles Pasqua, car comment expliquer autrement la nature totalement délirante et hallucinée du texte qu’il a pondu pour présenter cette folle affaire de « l’ordre des lucioles »…et que voici :

« L’Ordre des Lucioles s’inscrit dans le fil de ces recherches. On peut parler d’une ontologie inversée “appliquée” dans le sens où il s’agit avant tout de créer les conditions permettant de rendre tangibles ces champs de force et ces mouvements de transformation dynamique. » Ce petit préambule particulièrement pâteux et abscons nous permet déjà de mesurer l’état d’imprégnation alcoolique du lobe cervical gauche du locuteur ou s’agence les mots qui sortent de sa bouche ou de sa plume…

Et puis ça continue comme ça, dans le même état d’ébriété logorrhéique : « Chaque oeuvre dans cette exposition intègre ces champs de force interagissant entre deux pôles selon des types d’accès différents ; l’emplacement des oeuvres répond ainsi à une logique régie par ces types d’accès.1 Après le film de Pugnaire / Raffini, installé comme une sorte de préface à l’exposition, la structure de Robin Meier peut s’aborder comme un laboratoire de recherche sur les phénomènes de synchronicité entre lucioles, criquets, métronomes et musique générative. Le point d’accès (un laboratoire de recherche) se situe à proximité d’un des pôles (en l’occurrence, l’objet ordinaire), mais une telle structure est très vite happée par une dynamique transformant ce laboratoire ordinaire en champs de force en constante oscillation entre deux pôles. Au fur et à mesure que le visiteur traverse les espaces d’exposition, les accès proposés fonctionnent tels des curseurs glissant inexorablement vers le pôle opposé à celui de l’objet ordinaire. L’œuvre de Grace Hall s’aborde en plongeant la tête dans les eaux d’un tonneau pour entendre des poèmes qui se mêlent aux résonances de notre propre corps et dont l’écoute est subordonnée à notre capacité pulmonaire ; celle de Brognon/Rollin invite à élaborer une image mentale des pourtours d’une île, tâche absurde en raison du mouvement continu des vagues qui effacent tout point fixe ; l’atelier de Thomas Teurlai s’attaque à l’extraction des métaux précieux présents dans certains appareils informatiques, tentative amateur vouée à l’échec et qui ne donne à voir que ses processus de transformation (on serait tenter de dire “de transfiguration”) ; la jambe de l’artiste Julien Dubuisson a été moulée autour du bras de sa compagne, dévoilant un espace négatif qui transforme la notion même de corps humain ; enfin, le camion de Pugnaire Raffini impose sa présence physique, déploie ses lambeaux écorchés et s’approche au plus près du pôle opposé à celui que l’oeuvre de Robin Meier vient affleurer. Entre ces deux pôles, des champs de force, que L’Ordre des Lucioles vient nourrir. Et c’est signé Marc-Olivier Wahler

 

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Biographie de Nicole Esterolle

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Nicole Esterolle. Artiste, critique d’art, galeriste ? peu de gens connaissent l’identité réelle de la personne connue ou non, qui se cache sous ce pseudonyme… mais ses chroniques irrévérencieuses font fureur sur le web depuis trois ans.

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Schtroumpf Emergent

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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, critique, critique d’art, débats, Discussion, exposition, installation, Nicole Esterolle, performances, pictural, réflexion Tagged: Brognon/Rollin, Charles Pasqua, David Raffini, Florian Pugnaire, Grace Hall, Julien Dubuisson, La bouffonnerie de l’art contemporain, Le Prix Ricard, Le Prix Ricard - billet d'humeur par Nicole Esterolle, Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), maison Ricard, Marc-Olivier Wahler, Marc-Olivier Walher, Montage: Boucher et Lecland, Nicolle Esterolle, Pugnaire / Raffini, Ricard Foundation prize, Robin Meier, Stroumpf Emergent, Thomas Teurlai, Un livre : « La bouffonnerie de l’art contemporain »

Lorraine Simms – FAMILIARS / Galerie d’art d’Outremont (CA)

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© Lorraine Simms
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FAMILIARS
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Du 5 au 29 novembre 2015
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Le titre de cette exposition, Familiars, fait allusion aux esprits guides ou aux compagnons animaux dépeints dans un folklore qui remonte au Moyen Âge. Dans son travail, Lorraine Simms ré-imagine ces guides magiques sous la forme d’hybrides fabuleux composés d’animaux en peluche tordus et attachés ensemble. Transformés en êtres ataviques étranges, ces simulacres aux couleurs fluo se soustraient à l’extrême attendrissement et au sentimentalisme kitsch qui les relient habituellement à notre monde. Ces entités familières, nos alter ego, rejoignent ainsi un monde obscur et menaçant, un paysage mental surréel qui brouille et bouscule les associations. Comme dans les contes de Grimm, ces créatures déformées évoquent le côté sombre des choses ; l’anxiété rôde derrière leur façade ludique.

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Lorraine Simms détient une maîtrise de l’Université Concordia à Montréal. Son travail a fait l’objet de nombreuses expositions individuelles et de groupe dans des musées et galeries au Canada et aux États-Unis, notamment le Musée national des beaux-arts du Québec (Québec), la galerie Leonard & Bina Ellen et la galerie McClure (Montréal), le Musée d’art de Joliette (Joliette), le Centre d’exposition Expression (Sainte-Hyacinthe), la Tom Thomson Gallery (Owen Sound), la galerie d’art Beaverbrook (Fredericton), la galerie Anna Leonowens (Halifax), la galerie Stride (Calgary), l’A.R.C. Gallery (Chicago). Des critiques de ses œuvres ont été publiées dans plusieurs revues d’art, parmi lesquelles Canadian Art, Border Crossings, Parachute, et dans des quotidiens nationaux et régionaux. Elle a reçu de nombreuses subventions du Conseil des arts et des lettres du Québec et du Conseil des Arts du Canada. Lorraine Simms vit et travaille à Montréal.

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Galerie d’art d’Outremont
41 avenue Saint-Just
Outremont (Québec)
H2V 4T7
514-495-7419
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, pictural, réflexion Tagged: 41 avenue Saint-Just, Centre d’exposition Expression, Conseil des Arts du Canada, FAMILIARS, galerie Anna Leonowens, Galerie d'art d'Outremont, galerie d’art Beaverbrook, Galerie Leonard & Bina Ellen, Galerie McClure, Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Lorraine Simms, Lorraine Simms - FAMILIARS / Galerie d’art d’Outremont (CA), Montage: Boucher et Lecland, Musée d’art de Joliette, Musée national des beaux-arts du Québec, Outremont (Québec), Tom Thomson Gallery, université Concordia

Balthasar Klossowski de Rola, dit Balthus (1908-2001) – Villa Médicis et Scuderie del Quirinale (IT)

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Balthus « La patience », 1943, huile sur toile,

The Art Institute of Chicago, © Balthus

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Balthasar Klossowski de Rola
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dit Balthus
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31 janvier 2016
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À travers cette grande exposition monographique répartie sur deux lieux distincts, Rome célèbre, quinze ans après sa mort, Balthasar Klossowski de Rola, dit Balthus (1908-2001), un des maîtres les plus originaux et les plus énigmatiques du XXe siècle, dont la production artistique est fortement marquée par l’influence de la ville éternelle.

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Près de deux cents œuvres (tableaux, dessins, photographies) issues des plus importants musées européens et américains mais aussi de prestigieuses collections privées composent un parcours passionnant organisé en deux temps : aux Scuderie del Quirinale, une rétrospective complète conçue autour des chefs-d’œuvre les plus connus ; à la Villa Médicis, une exposition qui met en lumière, à travers des œuvres réalisées pendant son séjour romain, la méthode et le processus créatif de Balthus : pratique du travail en atelier, utilisation des modèles, techniques, recours à la photographie.

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Né à Paris d’un père polonais, critique d’art reconnu, et d’une mère russe, peintre et figure majeure des salons parisiens les plus réputés, Balthus connaît une enfance mouvementée entre Berlin, Berne et Genève où il suit ses parents, avant de regagner la France en 1924, pétri de culture mitteleuropea. Fasciné très jeune par les maîtres de la Renaissance toscane (en particulier par Piero della Francesca), découverts à l’occasion d’un premier voyage en Italie en 1926, Balthus opte pour une conception figurative de la peinture et une clarté logique héritées de la culture artistique italienne.

Cette tradition, alliée à sa connaissance des formes italiennes du réalisme magique, de la métaphysique et de la Nouvelle Objectivité allemande, est à l’origine de cette atmosphère statique et mystérieuse qui caractérise sa production picturale, notamment les œuvres des années 1930. Après la Guerre, la peinture de Balthus gagne en densité et l’iconographie s’oriente vers le nu en s’appuyant sur des figures d’adolescentes réservées ou contemplatives.

Sa dévotion précoce pour la culture italienne s’enrichit, à partir de 1961, d’une expérience cruciale : celle de son séjour romain en tant que directeur de l’Académie de France à Rome – Villa Médicis. À la tête de cette prestigieuse institution pendant dix-sept ans, Balthus approfondit sa pratique du dessin et de la peinture et entreprend le chantier colossal de la restauration de l’édifice et des jardins historiques qui seront accessibles aux visiteurs de l’exposition.

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Académie de France à Rome – Villa Médicis
Viale Trinità dei Monti,
1 00187 Roma
T. +39 06 67611
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Horaires d’ouverture de l’exposition aux Scuderie del Quirinale : du dimanche au vendredi 10h00-20h00, samedi et vendredi 10h00-22h30 (dernière entrée une heure avant la fermeture).

Horaires d’ouverture de l’exposition à la Villa Médicis : dumardi au dimanche (fermé le lundi)11h00-19h00 (dernière entrée à 18h30).

Billet pour l’exposition aux Scuderie del Quirinale :12 € (plein tarif) / 9,50 €(tarif réduit).

Billet pour l’exposition à la Villa Médicis :12 € (plein tarif) / 6 € (tarif réduit). Le billet inclut l’entrée à l’exposition et la visite guidée de la Villa Médicis. Entrée libre pour l’exposition tous les jeudis de 17h00 à 19h00.

Le billet de l’exposition Balthus acheté dans l’un des deux lieux de l’exposition permettra l’entrée à tarif réduit dans l’autre.

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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, photographie, pictural, réflexion, vernissage Tagged: Académie de France à Rome, Académie de France à Rome - Villa Médicis, Balthasar Klossowski de Rola, Balthus, culture mitteleuropea, dit Balthus (1908-2001) -Villa Médicis et Scuderie del Quirinale (IT), Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Montage: Boucher et Lecland, Piero della Francesca, Roma, Scuderie del Quirinale, The Art Institute of Chicago, Viale Trinità dei Monti, Villa Médicis

NÉON, LA MATIÈRE EN LUMIÈRE / GUILDE CANADIENNE DES MÉTIERS D’ART (CA)

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Léa Mercante, Flashlight-2, 2015, 25,8 x 33 po.
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ON,
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LA MATIÈRE EN LUMIÈRE
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  Du 5 novembre au 5 décembre 2015
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Vernissage
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jeudi 5 novembre 2015
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de 17 h à 19 h.
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La Guilde canadienne des métiers d’art est fière de présenter l’exposition ON, LA MATIÈRE EN LUMIÈRE du 5 novembre au 5 décembre 2015, mettant de l’avant le travail d’artistes/artisans professionnels et émergents en métiers d’art qui proviennent de toutes les disciplines, autour d’une thématique commune : le néon. L’exposition réunira vingt-cinq oeuvres réalisées par dix-huit artistes : Andrée BÉLANGER, Sophie BÉLANGER, Gina BOUCHARD, Brigitte DAHAN, Émilie DELL’ANIELLO, Dave FORTIN, Nicole GAUVIN, Anne-Marie GROULX, Maria Teresa HINCAPIE, Cindy LABRECQUE, Diane LEFEBVRE, Véronique LOUPPE, Léa MERCANTE, Sabine POUQUET, Mathieu ROY, Serena SCIARRINI, Jean-Simon TROTTIER et Ute WOLFF. L’Année de la lumière, décrétée par l’UNESCO, de même que l’Année des métiers d’art 2015 déclarée par la Fédération canadienne des métiers d’art se concluront au moment où se tiendra l’exposition. Alliant savoir-faire et innovation dans les pratiques traditionnelles des métiers d’art, NÉON, LA MATIÈRE EN LUMIÈRE se veut une célébration de la création à travers une thématique urbaine et contemporaine commune. Qu’elle appartienne à la famille céramique, verre, textile, métal ou bois, chaque oeuvre, à partir de sa propre matière et de ses qualités intrinsèques, interroge les notions du temps et de la lumière. L’exposition souligne le rôle important qu’a joué la Guilde canadienne des métiers d’art, non seulement dans la préservation et la promotion des métiers d’art, mais surtout dans le renouvellement de ces disciplines, tout en rendant hommage à ces pratiques artistiques en tant que forme d’art à part entière.
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ACTIVITÉ SPÉCIALE – RENCONTRE AVEC 2 EXPOSANTS 

La Guilde vous invite à rencontrer les artistes pour une causerie : le vendredi 6 novembre de 17 h à 19 h et pour un atelier familial, le samedi 28 novembre 2015 de 14 h à 15 h 30.

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NÉON, LA MATIÈRE EN LUMIÈRE 

Le néon a mis à genoux la nuit, tout comme les artistes ont fait plier la matière, afin d’en tirer exactement les formes qu’ils désiraient. Foncièrement urbain, le néon renvoie à la vie nocturne, à la récupération de la nuit par les villes. Il y a définitivement indéniablement un parallèle à faire entre la transformation d’un phénomène naturel, la nuit, et la transformation de la matière chez les artistes / artisans participant à cette exposition. Le néon renvoie donc à la vie nocturne, mais aussi aux restaurants, aux marquises illuminées des salles de spectacle, aux boîtes de nuit, aux festivals extérieurs vivement éclairés ou décorés de lumières la nuit. Bref, à une culture populaire fortement liée à la production en série, qui elle, est ancrée dans la société de consommation. Agissant comme rempart contre cette surproduction déshumanisée, les oeuvres de l’exposition NÉON proposent le lent processus de création d’un objet unique, à contre-courant de la production de masse.

Chaque oeuvre présentée est le fruit d’un travail singulier où l’on retrouve humanité, savoir-faire, répétition du geste dans le processus de création et innovation. L’omniprésence du corps dans la fabrication de ces créations les rend hautement personnelles et les oeuvres créées se situent au-delà de l’objet usuel. En effet, l’artiste, par ses créations, remet en question son rapport au monde. La majorité des oeuvres présentées racontent le passage entre nature et culture, à travers le processus initial de transformation de la matière, mais aussi par leur représentation. On y retrouve également une exploration de la couleur et des caractéristiques associées à la lumière à travers, entre autres, la transparence des matériaux utilisés.

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GUILDE CANADIENNE DES MÉTIERS D’ART
1460-B, rue Sherbrooke Ouest
Montréal, Québec
H3G 1K4

Tél. : 514.849.6091

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LA GUILDE CANADIENNE DES MÉTIERS D’ART La Guilde canadienne des métiers d’art est un organisme à but non lucratif fondé en 1906 afin de préserver, encourager et promouvoir l’art inuit et des Premières Nations, ainsi que les métiers d’art canadiens. À la Guilde, on retrouve une collection permanente d’art inuit, une des plus influentes au Canada, des archives d’une réputation historique et culturelle notable, un programme éducatif à portée considérable et une galerie qui rassemble les oeuvres d’artistes reconnus et émergents. Située au centre-ville de Montréal, tout près du Musée des beaux-arts de Montréal, la Guilde canadienne des métiers d’art se consacre aux arts par sa contribution à l’engagement artistique, éducatif et culturel.

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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, MÉTIERS D'ART, pictural, réflexion, vernissage Tagged: Andrée BÉLANGER, Anne-Marie GROULX, Émilie DELL’ANIELLO, Brigitte DAHAN, Cindy LABRECQUE, Dave FORTIN, Diane LEFEBVRE, Flashlight-2, Gina BOUCHARD, GUILDE CANADIENNE DES MÉTIERS D’ART, Jean-Simon Trottier, Léa Mercante, Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Maria Teresa HINCAPIE, Mathieu ROY, Montage: Boucher et Lecland, Montréal (Québec), NÉON LA MATIÈRE EN LUMIÈRE / GUILDE CANADIENNE DES MÉTIERS D’ART, Nicole GAUVIN, Sabine POUQUET, Serena SCIARRINI, Sophie BÉLANGER, UNESCO, Ute WOLFF, Véronique LOUPPE

PRIX DAZIBAO REMIS À LIAM MALONEY / Le Mois de la Photo à Montréal (CA)

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Liam Maloney, Untitled 10, de la série Texting Syria, 2014
© Liam Maloney
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PRIX DAZIBAO

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REMIS À
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LIAM MALONEY
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Nous sommes heureux de vous annoncer que le récipiendaire du Prix Dazibao pour l’édition 2015 du Mois de la Photo à Montréal est Liam Maloney pour son exposition Messages textes pour la Syrie qui était présentée à la Galerie B-312.Les images présentées montraient des portraits de réfugiés syriens empressés de communiquer avec les leurs par le biais de téléphones cellulaires. Le jury de Dazibao s’est montré particulièrement impressionné par l’acuité du propos de l’artiste dans le contexte sociopolitique actuel, alors que la crise syrienne occupe une place considérable dans nos médias. Le travail de Maloney se distingue par son approche singulière et renouvelée du documentaire et intègre avec finesse les technologies récentes aux traditions picturales du portrait. De plus, le travail de Liam Maloney émancipe en quelque sorte le post-photographique de son besoin de colliger et recenser, faisant de la médiation même un maillon de son sujet.

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À PROPOS
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À chaque édition du Mois de la Photo à Montréal, Dazibao remet un prix à un artiste participant à l’événement et dont l’œuvre est particulièrement significative. Ce prix se concrétise par la réalisation d’un livre de la collection Les portables aux éditions Dazibao. Depuis 2007, Dazibao a remis ce prix à Gustavo Artigas (2007), Zineb Sedira (2009), Jim Verburg (2011) et Suzy Lake (2013.

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Les portables est une collection exclusivement dédiée aux œuvres d’un artiste. Les ouvrages développés dans le cadre de cette collection proposent l’objet livre comme un espace, voire un lieu, de diffusion pour l’image actuelle. Les portables sont des expositions itinérantes sans circulation prédéterminée et surtout sans limite de points de chute.

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DAZIBAO PRIZE
AWARDED TO LIAM MALONEY
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We are happy to announce that the winner of the Dazibao Prize for the 2015 edition of Le Mois de la Photo à Montréal is Liam Maloney and his exhibition Texting Syria which was presented at Galerie B-312.

The images show portraits of Syrian refugees busily communicating with their loved ones with cellular phones. The Dazibao jury was particularly impressed by the keen interest of the artist’s project in the present-day socio-political context, with the Syrian crisis gaining widespread coverage in the media. Maloney’s work demonstrates his singular and innovative approach to documentary and incorporates recent technology into the pictorial traditions of portraiture with finesse. In addition, Maloney emancipates in a sense the post-photographic from the need to collect and record, making mediation itself a connecting element of his subject.

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Liam Maloney, Untitled 10, from the series Texting Syria, 2014 © Liam Maloney

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ABOUT
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For each edition of Le Mois de la Photo à Montréal, Dazibao confers a prize to an artist participating in the event and whose work is particularly significant. This prize consists in the realisation of a book in Dazibao’s Les portables series. Since 2007, Dazibao has rewarded the prize to Gustavo Artigas (2007), Zineb Sedira (2009), Jim Verburg (2011) and Suzy Lake (2013).

Les portables collection of Les Éditions Dazibao is dedicated exclusively to the work of one artist. The collection appropriates the form of the book as a space, and a site, for the dissemination of contemporary photographic practice. The books of Les portables are travelling exhibitions with unlimited venues and circulation.

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Le Mois de la Photo à Montréal
5445, avenue de Gaspé, espace 335
Montréal, Québec
H2T 3B2
Canada
514-390-0383

Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, Le Mois de la Photo à Montréal 2015, photographie, pictural, réflexion Tagged: édition 2015 du Mois de la Photo à Montréal, Gustavo Artigas, Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Liam Maloney, Montage: Boucher et Lecland, PRIX DAZIBAO REMIS À LIAM MALONEY / Le Mois de la Photo à Montréal (CA), série Texting Syria 2014

Lettre de Niki de Saint Phalle à Dieu / Des lettres

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Lettre de Niki de Saint Phalle à Dieu   
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Niki de Saint Phalle (29 octobre 1930 – 21 mai 2002) est l’une des artistes les plus populaires du XXème siècle, plasticienne, peintre, sculptrice et réalisatrice de films. Son œuvre est marquée par son féminisme et sa radicalité de pensée qui donnent lieu à des créations atypiques et originales, comme « Nanas ». Dans cette lettre radicale et drôle, la sculptrice prend la plume et s’adresse à Dieu. 

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Cher DIEU,

 

Pourquoi les fleurs meurent-elles ?

 

Pourquoi les oiseaux meurent-ils ?

 

Pourquoi tout ce que je vois va-t-il

 

un jour mourir ?

 

Même toi ! Même moi !

 

Pourquoi y-a-il des guerres

 

et tant de destruction ?

 

Pourquoi n’y a-t-il pas

 

de vraie justice ?

 

Pourquoi l’avarice et l’argent

 

mènent-ils le monde ?

 

Pourquoi, lorsque tu as créé le monde,

 

n’avoir pas fait un meilleur boulot ?

 

Je ne t’aime plus !

 

Parfois je te déteste !

 

Je suis devenue athée.

 

Les sœurs et mes parents

 

sont épouvantés.

 

Aujourd’hui, à la messe,

 

j’ai commencé à imaginer que les

 

vêtements du prêtre soudain

 

disparaissaient, et qu’il se

 

retrouvait tout nu.

 

J’ai attrapé le fou rire.

 

Quand j’ai fait ma communion,

 

j’ai mâché l’hostie avec violence.

 

Ma langue

 

va-t-elle devenir noire ?

 

Irai-je en enfer pour y brûler

 

éternellement ?

 

Les mots d’amour et de haine que je

 

t’adresse se mélangent dans ma tête,

 

Dieu.

 

Parfois je suis une sainte et je soigne

 

les lépreux. Parfois je célèbre des

 

messes noires comme mon ancêtre,

 

Madame de Montespan.
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Source:
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Deslettres.fr est un site qui vous invite à plonger dans le monde riche et passionnant des lettres et des correspondances. Des lettres célèbres ou injustement oubliées au fond des bibliothèques, des lettres envoûtantes et bouleversantes, tendres ou terrifiantes, qui regorgent d’émotion, de culture et de surprises : lettres d’amour, dernières lettres, lettres d’amitié, d’insultes ou lettres ouvertes…

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Blanchiment: la part d’ombre du marché de l’art par Martine Robert – Les Echos

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Blanchiment :

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la part d’ombre du marché de l’art

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Martine Robert – Les Echos

Les spécialistes sont de plus en plus nombreux à penser que l’envolée spectaculaire des prix des oeuvres d’art est en partie alimentée par le recyclage d’argent sale. Pour les professionnels, il n’est pas toujours simple de repérer les pratiques douteuses, favorisées par l’opacité du milieu et l’anonymat des enchères.

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Le quotidien « USA Today » a posé la question qui fâche en novembre dernier, juste après les vertigineuses ventes d’automne sur le marché de l’art new-yorkais : « L’art est-il devenu une entreprise criminelle ? » En tout cas, « personne n’est aujourd’hui capable de donner une explication pertinente sur cette création de valeur astronomique… », constatait-il alors, relayant une hypothèse de plus en plus souvent formulée face à la flambée délirante du prix des oeuvres d’art. Certes, les grandes fortunes se sont multipliées sur la planète, et l’art est devenu un signe d’appartenance à ce cercle fermé. Mais cela suffit-il à justifier de telles envolées ? La fiscaliste Virginie Heem et l’expert David G. Hotte ont leur petite idée sur la question : « Le commerce des oeuvres d’art est l’un des moins contrôlables qui soit. L’identification des objets est particulièrement délicate; la valeur d’un objet est souvent subjective, donc difficile à déterminer. Les sommes en jeu sont considérables. Les opérations de blanchiment et de fraudes fiscales sont courantes et peuvent avoir pour conséquence une hausse soudaine et parfois inexpliquée des prix du marché », analysent-ils dans leur ouvrage « La Lutte contre le blanchiment de capitaux ».

Peu réglementé, liquide, discret, avec ses ports francs à l’abri des regards et des taxes, le marché de l’art a de quoi séduire les fraudeurs de tous calibres. Selon l’Association for Research into Crimes against Art, il rapporterait 6 milliards de dollars environ par an au syndicat du crime. Des transactions de plusieurs millions de dollars peuvent avoir lieu en secret, entre des partenaires parfois anonymes, voire virtuels, via Internet. Le 30 avril, le juge new-yorkais Jesse Furman infligeait une amende de 6,4 millions de dollars au marchand d’art Helly Nahmad, et l’expédiait en prison pour un an. Nul doute que Jesse Furman ait voulu faire un exemple. Helly Nahmad appartient à l’une des familles les plus puissantes du milieu de l’art, à la tête d’une collection évaluée à 4.500 oeuvres et 3 milliards de dollars, largement conservée dans le port franc de Genève. Accusé de paris clandestins illicites et de blanchiment, en lien avec le crime organisé, pour une centaine de millions de dollars, il a admis avoir accepté des paris « entre amis » : un membre de la mafia russe, des sportifs, des stars de cinéma, des banquiers de Wall Street… Quelques heures après sa plaidoirie, il assistait à une vente aux enchères chez Christie’s : de quoi agacer le juge, lequel a dû aussi apprécier qu’une douzaine de collectionneurs et de galeristes de renom volent au secours de l’accusé d’une manière parfois surréaliste, tel Marc Glimcher, président de la Pace Gallery, écrivant à la cour : « C’est la personne la plus honnête et la plus digne de confiance avec laquelle j’ai eu le privilège de travailler. »

En mai 2013, une malle en provenance de Londres, censée contenir un tableau de 100 dollars mais cachant en réalité un Basquiat, « Hannibal », évalué 8 millions de dollars, était interceptée à l’aéroport international Kennedy, dans le cadre de l’affaire Edemar Cid Ferreira, un ancien banquier brésilien ayant blanchi des milliards de dollars en achetant une collection de 12.000 oeuvres. « Hannibal » a rejoint l’entrepôt où les autorités fédérales avaient déjà stocké des Matisse, Warhol, Rothko, Hirst…, acquis par l’avocat radié du barreau Marc Dreier pour recycler une partie des 700 millions de dollars détournés aux dépens d’investisseurs.

Pour nettoyer l’argent sale, plusieurs techniques. Il y a la fausse facture, bien sûr. Le « New York Times » rapporte une conversation téléphonique durant laquelle Helly Nahmad, alors sous enquête du FBI, suggère à une cliente de virer 150.000 dollars sur le compte de son père, également marchand. « Quelquefois, une banque a besoin d’un justificatif pour un virement. Nous pouvons dire que vous avez acheté une peinture… » Il y a aussi la fausse enchère. Un trafiquant met sous le marteau une oeuvre et remet à ses comparses une somme d’argent suffisante pour emporter les enchères. La vente terminée, le trafiquant reçoit un chèque propre au nom de Christie’s, Sotheby’s, etc. Son complice lui restitue le tableau et perçoit sa commission – une pratique utilisée dans les affaires de corruption. « Pour remporter le contrat d’un gazoduc, j’ai besoin du soutien d’un élu. Combien veut-il ? Un million ? C’est délicat ces dessous-de-table. Alors je lui donne un tableau – vrai ou faux, peu importe – qu’il met aux enchères, et des complices vont surenchérir jusqu’à cette somme. Et lui touche un chèque de la maison de vente », explique un professionnel.

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Suite de l’article (ici)

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Inscription Gratuit (ici)

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Dossier de l’Art N° 233 – PICASSO.MANIA

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Dossier de l’Art
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n° 233
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PICASSO.MANIA
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Quatre-vingt dix toiles et dessins de Picasso et plus de cent cinquante œuvres créées entre 1960 et 2015 : c’est la confrontation inédite et monumentale que propose le Grand Palais avec l’exposition « Picasso.mania ». Au fil d’un parcours qui s’appuie sur les phases les plus influentes de Picasso, l’analyse de la réception de son œuvre se mue en une magistrale introduction à l’art contemporain guidée par le peintre…

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Vous avez rendez-vous avec Le Salon du livre de Montréal / PLACE BONAVENTURE (CA)

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Vous avez rendez-vous avec

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Le Salon du livre de Montréal

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Du 18 au 23 novembre

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C’est avec une fébrilité de circonstance que l’équipe du Salon du livre de Montréal vous dévoile aujourd’hui en partie la programmation de sa prochaine édition. Fidèle à sa réputation, le Salon transformera une fois de plus la Place Bonaventure en véritable sanctuaire du livre afin d’y célébrer avec effervescence les plaisirs de l’écriture sous toutes ses formes.

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Invités de marque, expositions, rencontres, dédicaces, animations… Six jours durant, s’y déploieront les multiples manifestations de cette expression singulière qui fait le propre de l’Humanité. Petits et grands, néophytes ou experts, auteurs, lecteurs ou visiteurs, le Salon du livre de Montréal vous invite à fêter l’Histoire qui s’écrit… et à y inscrire les vôtres. Bienvenue à cette 38 e édition du Salon du livre de Montréal !

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NOS INVITÉS D’HONNEUR 2015

Poètes, romanciers, essayistes, auteurs et illustrateurs : chaque année, le Salon du livre de Montréal célèbre ces artisans de la langue écrite et accueille plusieurs de ses ambassadeurs pour en partager les merveilles, et tisser pour un temps une relation privilégiée avec leurs univers. On se souvient encore avec émotion avoir remis l’an passé, le premier titre d’Immortel du Salon du livre de Montréal au prolifique Dany Laferrière. Une façon unique de témoigner notre infinie gratitude et profond respect envers la magie créatrice des auteurs. Venez à la rencontre de nos invités d’honneur de l’édition 2015 !

Au nombre de neuf cette année, les invités d’honneur offriront des expériences aussi variées que le sont leurs plumes, pour le plaisir de tous les lecteurs. JOSÉ ACQUELIN , récipiendaire du Prix du Gouverneur général en 2014 pour son recueil Anarchie de la lumière (éditions du passage), sera au salon pour partager son amour des mots et du vivant. KITTY CROWTHER , magicienne des mots et couleurs, y présentera sa sensible et poétique Mère Méduse (L’école des loisirs) devant les sourires ébahis des petits et grands. JEAN DÉSY , ce médecin voyageur autant poète que guérisseur, partagera son dernier roman, L’accoucheur en cuissardes (éditions XYZ), un témoignage vibrant salondulivredemontreal.com :: #slmtl 2 inscrit à la croisée des chemins empruntés par cet homme d’exception. Nous poursuivrons la remontée dans le temps à travers la Brève histoire des Patriotes (éditions du Septentrion) de GILLES LAPORTE , historien spécialiste du XIX e siècle québécois. MONIQUE PROULX grande dame de la littérature québécoise, fait aussi un plongeon remarqué dans l’histoire montréalaise avec son dernier roman, Ce qu’il reste de moi (éditions du Boréal), à travers lequel pulse la vie méconnue de Jeanne Mance. SAMPAR , illustrateur et bédéiste autodidacte, saura galvaniser les lecteurs en herbe déjà conquis par ses personnages Billy Stuart ou Guiby, et la série Savais-tu ? (éditions Michel Quintin). Le prolifique ÉRIC-EMMANUEL SCHMITT , dont la réputation n’est plus à faire, sera au Salon avec La nuit de feu (éditions Albin Michel), son dernier opus attendu et tout juste sorti en librairie. LARRY TREMBLAY , auteur acclamé de L’orangeraie (éditions Alto), sera au salon pour rencontrer ses lecteurs avec l’enthousiasme qu’on lui connaît, et avec cette année, le titre supplémentaire de porte-parole de Livres comme l’air . Finalement, c’est l’audacieuse et surprenante AUDRÉE WILHELMY qui partagera son univers alors que la claque cinglante de son second roman, Les sangs (Leméac éditeur), résonne encore.

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Expositions

Cette année, le livre est en fête et se déploie à travers 3 expositions originales. À l’occasion de leur 20 e anniversaire, LES ÉDITIONS 400 COUPS présenteront 20 ans d’audace, 20 ans d’inspiration , une exposition collective qui propose de réfléchir à une notion clé de la littérature : l’inspiration. Tandis que les auteurs dévoilent l’origine de leurs histoires, les illustrateurs s’en inspirent à leur tour. Une sélection des illustrations expose le résultat de la collaboration qui fait le livre. Inspirant ! Autre anniversaire d’envergure, L’ÉCOLE DES LOISIRS célèbre ses 50 ans et c’est au Salon du livre de Montréal que culmineront les festivités ! Les visiteurs pourront y découvrir 50 ans de création pour les enfants , une exposition qui propose un voyage dans l’univers des titres et des personnages emblématiques de la maison. Enfin, c’est la grande Agatha Christie qui aurait fêté ses 125 ans cette année. Pour souligner l’apport incontestable de cette femme hors du commun à la littérature mondiale, nous accueillerons, en partenariat avec POINTE-À-CALLIÈRE , musée d’archéologie et d’histoire de Montréal , une exposition en dix tableaux sur l’auteure légendaire, en plus d’organiser des tables rondes et conférences autour de son œuvre magistrale. Un avant-goût exclusif de l’exposition Sur les traces d’Agatha Christie présentée au musée dès le 8 décembre 2015.

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PLACE BONAVENTURE
800, rue de La Gauchetière Ouest,
Montréal, PQ 
H5A 1K6
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HORAIRE DU SALON DU LIVRE DE MONTRÉAL
Hall d’exposition de la Place Bonaventure
du mercredi 18 au lundi 23 Novembre 2015
mercredi 9 h à 21 h
jeudi 9 h à 21 h
vendredi 9 h à 22 h
samedi 9 h à 21 h
dimanche 9 h à 19 h
lundi 9 h à 15 h
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Classé dans:animation, Arts visuels, auteur, édition, éditions, critique, débats, dessins, dialogues, Discussion, exposition, illustration, installation, Le Salon du livre de Montréal 2015, lecture, Lecture jeunesse, Lecture théâtrale, lettres, littérature, littérature jeunesse, Livre, livre audio, pictural, réflexion Tagged: 800 rue de La Gauchetière Ouest, AUDRÉE WILHELMY, éditions Alto, éditions Michel Quintin, Billy Stuart ou Guiby, Eric Emmanuel Schmitt, GILLES LAPORTE, Jean Désy, Jeanne Mance, José Acquelin, KITTY CROWTHER, LARRY TREMBLAY, L’ÉCOLE DES LOISIRS, Le Salon du livre de Montréal, Le Salon du livre de Montréal 2015, Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Leméac éditeur, LES ÉDITIONS 400 COUPS, MONIQUE PROULX, Montage: Boucher et Lecland, Montréal - PQ, Pointe-à-Callière, Vous avez rendez-vous avec Le Salon du livre de Montréal / PLACE BONAVENTURE (CA)

15 lauréats du Prix Marcel Duchamp pour « le rayonnement international de la scène artistique française » Par Nicolle Esterolle

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Photos:
.Mathieu Mercier / Plasticien
Thomas Hirschhorn / Artiste visuel
Tatiana Trouvé / Artiste plasticienne
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15 lauréats du Prix
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Marcel Duchamp 
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pour
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de la scène artistique française » 
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Billet
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d’humeur
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Le Prix Marcel Duchamp est décerné pour les ans par l’ADIAF (association pour la diffusion internationale de l’art français), « qui regroupe 350 collectionneurs d’art contemporain engagés intensément dans l’aventure de la création. l’ADIAF s’est donnée comme mission de contribuer au rayonnement international de la scène artistique française » … « son activité monte en puissance et entend mettre en valeur une création contemporaine hexagonale en pleine effervescence »… peut-on lire sur le site de l’ADIAF…Les lauréats ont ensuite les faveurs du Centre Pompidou, de la Fiac , des innombrables lieux d’art institutionnels en France, et des principales galeries du business – art comme Valentin, Perrotin, Loevenbruck, Kamel Mennour, Lambert, Chantal Croussel, etc

Ces lauréats ainsi propulsés dans les dispositifs institutionnels et sur le marché spéculatif sont donc des produits frais à forte potentialité lucrative pour leurs « collectionneurs » qui les ont choisis…Ils sont aussi la fierté de l’art et de la culture française sur la scène internationale…

Mais moi, je pense que la France n’a pas en être fière, …et ce qui me tracasse le plus c’est de penser que ces 350 collectionneurs qui couvent affectueusement tous ces lauréats, vont perdre inéluctablement , à terme, tout l’argent qu’ils ont misé sur eux…et ça, c’est vraiment cruel pour ces gens aussi dévoués à la cause de l’art français….

Et puis vous constaterez comme moi, que ces prix de la schtroumpfidude post-duchampienne ont une typologie bien spécifique. Il y a en effet chez eux de la répétitivité , de la similitude et du formatage dans l’ordre du « processuel discursif » bien ennuyeux. …comme si l’on avait affaire aux résultats d’un processus dégénératif  de type endogamique fin de race… Produits monstrueux, non viables  et obscènes d’une reproduction incestueuse et consanguine à l’intérieur du milieu clos sur lui-même et le nez dans le guidon d’une communauté de tarès de plus en plus délirants autant qu’arrogants…
Alors, oui, si j’étais « collectionneur », je ne spéculerais pas un kopek sur ces ridicules petits artefacts

 

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Biographie de Nicole Esterolle

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Nicole Esterolle. Artiste, critique d’art, galeriste ? peu de gens connaissent l’identité réelle de la personne connue ou non, qui se cache sous ce pseudonyme… mais ses chroniques irrévérencieuses font fureur sur le web depuis trois ans.

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Schtroumpf Emergent

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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, critique, critique d’art, exposition, installation, Nicole Esterolle, performances, photographie, pictural, réflexion, vernissage Tagged: 15 lauréats du Prix Marcel Duchamp pour « le rayonnement international de la scène artistique française » Par Nicolle Esterolle, ADIAF, Centre Pompidou, Chantal Crousse, FIAC, kamel mennour, La bouffonnerie de l’art contemporain, Lambert, l’ADIAF (association pour la diffusion internationale de l’art français), Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Loevenbruck, Marcel Duchamp, Montage: Boucher et Lecland, Nicole Esterolle, Perrotin, Stroumpf Emergent, Un livre : « La bouffonnerie de l’art contemporain », Valentin

Kurt Mair – FRAMMENTI / Galerie Gilbert Dufois (FR)

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Kurt Mair Sans titre Huile sur toie 70 x 120 cm
Courtesy Galerie Gilbert Dufois, Senlis – Paris
Photo : Franco Borrelli
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Kurt Mair

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Peintures – gravures
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FRAMMENTI
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7 novembre – 5 décembre 2015
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La galerie Gilbert Dufois (Senlis) est très heureuse de présenter une nouvelle exposition personnelle de l’artiste allemand, Kurt Mair, intitulée Frammenti. Il s’agit de la troisième collaboration entre l’artiste et la galerie.

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« L’art n’est jamais chaste disait Picasso.

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Derrière des tentures chamarrées de velours rouge, par la fenêtre ouverte sur la chambre, le regard de l’artiste nous invite à pénétrer dans l’intimité d’une femme offerte, en pamoison. La forte présence de ce corps splendide nous entraîne dans un jeu de miroirs aux reflets troublants. A coup de pinceau ou de burin, selon les techniques, le peintre-graveur Kurt Mair a élaboré un véritable réseau dont la multiplicité des points de vue n’est pas sans rappeler les compositions de la renaissance italienne mais aussi de la peinture flamande et germanique. Cible du feu croisé de nos regardes, telle Suzanne au bain surprise par les vieillards, la belle odalisque tente d’échapper au champs clos de la toile pour nous saisir. Mais cette femme fuyant sa propre réalité n’est plus une femme. Elle est la représentation de la femme, mise en scène par l’artiste, pour incarner le désir et l’émotion sensuelle d’un émoi charnel. Soutenu par un dessin très affirmé, Kurt Mair est aussi un grand coloriste qui connaît toutes subtilités du clair-obscur pour mettre l’accent sur le caractère érotique de la scène en concentrant la lumière sur le corps du modèle. Dans cette lutte incessante pour provoquer le désir attrapé par la queue, il instaure un débat avec d’autres figures de l’école vénitienne… Sans jamais céder au piège de la copie détournée ou de la parodie maniériste, Kurt Mair remonte le courant de l’histoire de l’art pour faire l’éloge de la grande peinture. Il empreinte au Caravage, à Titien, à Ingres et plus près de nous à Degas. Toutes ces citations sont alors un prétexte scénographique pour déployer sa virtuosité dans la constitution d’une dramaturgie en prise directe avec notre époque contemporaine.

Le jeu des significations, le mélange des émotions, la mise en perspective de la tradition et du modernisme confère à l’oeuvre de Kurt Mair une résonance particulière en demi-teinte qui nous renvoie à nos propres questionnements narcissiques et nos fantasmes les plus intimes. »

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Galerie Gilbert Dufois
8 place Henri IV
60300 Senlis
Paris / France
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, graveurs, gravure, gravures, installation, pictural, réflexion Tagged: 8 place Henri IV, FRAMMENTI, Galerie Gilbert Dufois, Kurt Mair, Kurt Mair - FRAMMENTI / Galerie Gilbert Dufois (FR), La galerie Gilbert Dufois (Senlis), Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Montage: Boucher et Lecland, paris - france, Picasso

FRÉDÉRIC CORDIER – CORDIER, Ink / Engramme (CA)

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©Frédéric Cordier

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FRÉDÉRIC CORDIER

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 CORDIER, Ink.

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7 novembre – 13 décembre 2015
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Vernissage | vendredi 6 novembre | 17h

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L’artiste Frédéric Cordier nous propose l’exposition CORDIER, Ink., émanant du concept de productivité. Ce corpus regroupe des gravures sur linoléum de grand format ainsi que des sérigraphies imprimées avec des méthodes industrielles.

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Les formes architecturales qui découlent des usines n’ont pas de prétention esthétique et ont pour origine leur unique fonction. Souvent placées en périphérie des zones urbaines ou délocalisées dans des pays en voie de développement, elles alimentent les besoins de notre société.

Chacune des gravures présentées ici est issue de photographies et d’observations réalisées à proximité de sites industriels. Ces visites permettent à l’artiste de s’imprégner de l’atmosphère qui en émane et de recomposer un paysage auquel il incorpore des motifs simplifiés de matières imaginaires et de matériaux manufacturés.

Au cours des derniers mois, Frédéric Cordier a découvert les alumineries de la Côte-Nord, brutalement implantées dans le paysage naturel. Discrètement signalée par un panneau en bord de route, l’apparition soudaine de ces infrastructures monumentales lui apparaissait comme de véritables hallucinations visuelles. Cette dimension irréelle est traduite dans son travail par des associations de motifs psychédéliques et de formes géométriques faisant également référence à l’art optique et au pointillisme.

Frédéric Cordier (né en 1985 au Canada) vit et travaille entre Lausanne et Québec. Il est diplômé de l’ECAL (Lausanne). En 2008, son travail de diplôme est récompensé par le prix Ernest Manganel. Il poursuit ses études et obtient un Master, en 2010, dont l’axe principal était le médium du papier peint et sa mise en espace. Il réalise diverses installations de papier peint notamment dans la chapelle de Tell à Montbenon ainsi que dans des usines désaffectées à Tbilissi et à Paris. En 2011 il réside 6 mois à la Cité des Arts de Paris (atelier du canton de Vaud) où il travaille sur de grandes linogravures. Durant cette même année, il est lauréat d’une bourse culturelle Leenaards destinée à encourager des jeunes talents.

frederic-cordier.ca

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Engramme
Centre de production en estampe
et diffusion en arts actuels
Galerie : 510, Côte d’Abraham, Québec (Québec), G1K 3P9
Bureau : 501, rue St-Vallier Est, Québec (Québec), G1K 3P9

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418.529.0972

Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, graveurs, gravure, installation, pictural, réflexion, vernissage Tagged: 501 rue St-Vallier Est, bourse culturelle Leenaards, Centre de production en estampe et diffusion en arts actuels, chapelle de Tell, Cité des Arts de Paris (atelier du canton de Vaud), CORDIER Ink, ECAL (Lausanne), Engramme, FRÉDÉRIC CORDIER - CORDIER, Frédéric Cordier, Ink / Engramme (CA), Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), Montage: Boucher et Lecland, Montbenon, prix Ernest Manganel, Québec (Québec), Tbilissi
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