ART SOUTERRAIN convie depuis 2009 un large public à découvrir l’art contemporain autour d’un festival unique en Amérique du Nord qui se déploie dans le réseau souterrain piétonnier de Montréal, qu’empruntent quotidiennement quelques 100 000 passagers.
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Jonathan Schipper a grandi en Californie rurale. Il détient un BAC de l’Institut d’Art de San Francisco (1996) et une Maîtrise de l’École de Sculpture de Rinehart (1998). Il est aussi allé à l’École de Peinture et Sculpture de Skowhegan (2001). Il vit et travaille à Brooklyn. Il s’est concentré sur de grandes oeuvres d’art d’ingénierie qui trouvent leur inspiration dans les origines de la fonction et de la reconnaissance. Son œuvre La sphère contient 215 moniteurs et 215 caméras. Chaque caméra est à l’opposé de l’écran auquel elle est reliée. Son œuvre La sphère recrée donc constamment ses environs sur ses moniteurs dans tous les angles possibles, à tout moment. «Je ne pense pas que l’art
«Je ne pense pas que l’art doit être autre chose qu’intéressant. L’esthétique peut être à la fois le sujet d’une oeuvre et une qualité. L’esthétique dans mon travail sert à la fois à attirer les spectateurs et à refléter la signification des oeuvres. La Sphère invisible mise sur la recherche de la beauté, l’omniprésence des médias et la fiction inhérente à l’objectivité. L’omniprésence des médias est l’idée derrière la forme et l’esthétique de la sphère. Nous vivons dans un monde où tout est médiatisé. N’importe quel évènement est sujet à plusieurs caméras qui vont possiblement étendre cet évènement au monde entier. Nous sommes tellement habitués aux caméras que nous ne les remarquons presque plus. La sphère est un objet massif qui a été construite dans le but de créer une réflexion surdimensionnée des évènements médiatiques dans lesquels on vit. Lorsque la sphère est allumée, elle reflète 215 points de vue différents de la salle dans laquelle elle se trouve . Ces images montrent de belles perspectives inimaginables. Parfois, on a besoin d’un morceau de métal de 2500 lbs pour nous rappeler la beauté des choses simples. »
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Jonathan Schipper grew up in rural California. He holds a BFA from the San Francisco Art Institute (1996) and an MFA from the Rinehart School of Sculpture (1998). He attended Skowhegan School of Painting and Sculpture (2001). He now lives and works in Brooklyn. He has concentrated on large scale engineered technology based artworks that find their inspiration at the foundations of function and recognition. The sphere contains 215 monitors and 215 cameras. Each camera is opposite to the monitor it feeds. The sphere constantly recreates its surroundings on its monitors from every conceivable angle at all times.
« I don’t think art must be anything aside from interesting. Aesthetics can be both the subject as well as a quality. The aesthetics in my work serve both to draw the viewer to the work and reflects the artwork’s meaning. Theinvisible sphere is about the nature of finding beauty, the Omni presence of media and inherent fiction of objectivity. The Omni presence of media is the idea that built the shape and aesthetic of the sphere. We live in a world where everything is mediated. Every event is subject to multiple cameras extending the event to remote locations possibly all over the world. We have become so used to the cameras that we now almost don’t notice them. The sphere is a massive object that was built as an oversized reflection of the constant media event we all live within. When the sphere is turned on it reflects 215 different live views of the room it’s in. Within those images are so many beautiful unimagined perspectives. Sometimes it takes a 2500 pound piece of steel to remind us of beauty of simple things. »
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