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La chronique n° 51 – Nicole Esterolle / Là où Buren passe, l’art trépasse…‏

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La chronique n° 51
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Nicole Esterolle
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Là où Buren passe, l’art trépasse…‏
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Au sommaire de ce n° 51:

1-Là où Buren passe l’art trépasse

2-Quand les comiques s’emparent de l’art contemporain

3- Le veau et le requin de Damien Hirst, se sont échappés du formol !

4- Un Monde Magazine dédié au kitch de luxe et à l’esthétisme torride

5- Vieux motard (contemporain) que jamais !

6- « Il y a trop de faux artistes, d’escrocs et d’imposteurs dans l’art contemporain » par Eric Emmanuel Schmitt

7-C’est quoi ce gros tas de terre ???

8-Enfin un vrai débat !

9- Poubelle la vie !

10- Des ultra-modernes primitifs par Dario Caterina.

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1- Là où Buren passe, l’art trépasse…

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…Le sujet est d’actualité puisqu’on nous annonce pour l’année 2014 deux grosses expositions Buren : l’une au Musée de Strasbourg et l’autre au MAMO de Marseille…

« Ce n’est pas Philippe IV qui a fait Velasquez, ce n’est pas La IV e République qui a fait Georges Braque, mais c’est bien la Ve République qui a fait Daniel Buren » – écrit Marie Sallantin (1) … Oui, Buren est bien un pur produit de l’appareil institutionnel français. Il en est même l’emblème, la figure de proue, la clef de voûte et la gloire nationale depuis près de quarante ans. Il est donc l’artiste « pompier » par excellence, mais à cette différence près avec les peintres « pompiers » du début du 20e siècle, que lui, se déclare anartiste, anti-art, anti-peinture et donc anti-pompier, parce que son talent de médiocre peintre au départ, n’est évidemment plus dans la peinture – même, mais dans cette capacité extraordinaire qu’il possède de pouvoir activer les mécanismes de reconnaissance et de légitimation avec du pur rien, avec de la non-peinture, avec une sorte de béance d’art et avec, comme le disent ses fidèles exégètes, « un questionnement permanent des limites de la peinture ». .. Un questionnement en soi, pour soi, entortillé sur soi et sans réponse possible… un questionnement sur les limites de la crétinerie sans limites des adeptes de l’AC, disent les mauvaises langues…un questionnement donc qui peut durer indéfiniment comme inépuisable et confortable rente de situation pour lui et à perpétuité… Et ça, il faut bien le reconnaître, c’est très fort ! Bravo l’anartiste !

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Et cela fait quarante ans que cet artefact, ce fibrome, cette anomalie, cet effet Larsen, cette boursoufflure exponentielle du rien, accapare et subjugue les dispositifs et l’argent publics…Et cela continue pour l’année 2014, avec deux grosses expositions Buren : l’une au Musée de Strasbourg et l’autre au MAMO de Marseille…Et pourquoi pas au Louvre en 2015 ?… Cela se poursuit donc de plus belle, ou plutôt de pire en pire, puisque, s’il était possible de reconnaître quelque rigueur théorique ou sobriété esthétique à sa démarche première des années 70, nous assistons maintenant à toutes sortes de déclinaisons colorisées (2) des bandes verticales initiales, avec parasols, machins électroniques, machines optiques, miroirs et multiples autres laborieux dispositifs de mise en spectacle, où le gigantisme et la démagogie vont de paire avec l’indigence formelle et l’incapacité foncière à comprendre ce qu’est l’art.

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Le piège tendu à l’institution par notre « outilleur visuel » national, est certes très rudimentaire, ( et si Buren n’avait pas existé, on en aurait bien trouvé ou inventé un autre, puisque Duchamp en avait déjà conçu le format), mais cette stratégie simpliste de non contenu in situ pour mieux mettre en valeur le contenant environnant s’est avérée imparable dans sa simplicité…Quelle aubaine en effet pour un contenant ou pour un véhicule que de transporter du rien à voir, pour qu’on ne voit que lui, et pour enflammer les medias à son seul sujet ! Quelle satisfaction de disposer de cette proposition artistique minimale pour pouvoir fédérer et faire lien corporatiste entre des fonctionnaires et des spéculateurs qui ont justement en commun cette minimalité de pensée et de ressenti artistique ! Quelle chance pour un discours sur l’art, de n’avoir plus aucun objet extérieur à lui, et de pouvoir s’épanouir en pure ivresse auto célébratoire langagière ! Quelle bonheur pour la spéculation tant financière qu’intellectuelle de voir ainsi le dire prendre le pouvoir sur le faire ! Quelle bonheur pour un inspecteur à la création de ne pas avoir de création à inspecter pour mieux se sentir créateur lui-même au lieu des vrais ainsi disqualifiés par l’entourloupe burénienne !…Quel filon pour les imposteurs dont parle plus loin Eric Emmanuel Schmitt ( paragraphe 6) ! Quelle formidable encouragement pour ce grand marché du vent qu’est le business art contemporain!

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Dès lors, qu’importe le coût financier, artistique et humain des ravages causés par ailleurs, par cette burennite administrative généralisée au service de la spéculation financière…Qu’importe notamment la fuite du public et la faillite financière du Centre Pompidou –Metz, générées par l’irrépressible burénophilie de son Laurent Lebon de directeur…Qu’importe si l’image de l’art burénien français est ridicule sur la scène internationale (voir le rapport Quemin)…Qu’importent les dégâts commis sur la place de l’Hôtel de Ville à Lyon et le coût de la restauration des colonnes du Palais Royal à Paris…Qu’importe, si pour tel « in situ » burénien dans telle région, l’agent public dépensé ne pourra plus servir la reconnaissance des artistes de cette région…et qu’importe si la sur – médiatisation de cette bulle de non-existence, occulte la vraie existence et la diversité de la vraie création alentour…Qu’importe de savoir ce que deviendront ces générations de burénisés du cœur et de l’esprit, ne comprenant ni ne sentant plus rien devant une aquarelle de Wols ou de Paul Klee…Qu’importe de voir aujourd’hui notre outilleur visuel travailler pour les maison de luxe Hermès, Vuitton, Champagne Pommery, etc., en trahissant ainsi sans aucune vergogne ses propres engagements révolutionnaristes premiers…Qu’importe ce que cela signifie en termes de destruction du sens et du respect de soi, de destruction des repères éthiques autant qu’ esthétiques et de destruction des valeurs qui ont permis de constituer notre patrimoine artistique… Qu’importe tout ça, au regard des avantages à court terme fournis aux réseaux dominants de pouvoir et d’argent, et au regard des bienfaits que leur apporte la collusion entre l’appareil institutionnel et le grand marché spéculatif, avec la caution de cette bulle intello-spéculative burénienne destructrice de l’art vivant, en tous points semblable et liée aux bulles spéculatives financières, destructrices de l’économie réelle.

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Mais il nous importe à nous cependant de croire que l’Histoire se chargera de la longue séquence burénienne, comme elle s’est chargée d’autres longues périodes de totalitarisme d’État.

Voir Image 06 de l’anartiste parmi ses œuvres minimales

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1- Dans le livre « 1983-2013 : Les années noires de la peinture » de Marie Salantin, Aude de Kerros, Pierre –Marie Ziegler paru en 2013 aux Editions Guillaume de Roux

2- Buren dit aujourd’hui « que la couleur, c’est de la pensée pure ; qu’il est impossible de la transcrire ni en musique, ni en parole, ni en philosophie, ni en rien ; que c’est brut ; que c’est d’une complexité extraordinaire ; que cela relève de l’indicible ; que cela n’exprime rien ; que c’est un pur moment de beauté immatérielle et sensible… » On croit rêver…

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2 – Quand les comiques s’emparent de l’art contemporain et de la culture de classe …

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Je vous propose de regarder ces trois vidéos d’un exceptionnel pouvoir hilarant :

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- la première nous présente un pastiche de Frédégonde de Lécharpensoye, critique d’art, directrice de FRAC et célèbre curatrice internationale, qui nous parle de la brosse à dents à poils durs, comme méta-objet transitionnel dans l’œuvre de Fabrice Hybert http://www.youtube.com/watch?v=RfundNlqvK4

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-la seconde nous imite la fameux Paul Ardenne, critique d’art, ex-codirecteur d’Art Press, motocycliste et curator de l’exposition actuelle « Motopoétique » au MAC Lyon, qui nous parle de son amour pour sa motocyclette : http://www.mac-lyon.com/mac/sections/fr/expositions/2014/motopoetique/vidaos

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-La troisième est l’interview fictif d’un jeune artiste émergent exemplaire, dont la spécificité est de peindre les bouquets de fleurs débiles que l’on voit en arrière plan, et, par ailleurs, de balayer, astiquer, laver , poncer, toutes les surfaces sales qui passent à sa portée… :  <http://www.youtube.com/watch?v=g87gbaIebfw&feature=youtu.be>

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3 – Le veau et le requin de Damien Hirst, se sont échappés du formol !

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Gros émoi sur le marché de l’art contemporain international : le veau et le requin de Damien Hirst se sont envolés de leur bain de formol et de l’océan de crétinerie humaine où l’artiste les faisait macérer depuis plusieurs années déjà… voir image jointe n° 1 

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4 – Un Monde Magazine dédié au kitch de luxe et à l’esthétisme torride (image n° 2)

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J’avais envoyé le texte qui suit au courrier des lecteurs du Monde…Il n’a pas été publié, alors je me le publie moi-même ici :

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« M », le magazine supplément week end du Monde nous annonce qu’il va publier pendant plusieurs mois une page de la revue « Toiletpaper » créée par Pierpaolo Ferrari et Maurizio Cattelan où figurent des images choc « détournant les codes de la mode, du cinéma et de la publicité », allant bien au-delà de l’humour ou de l’ironie, vers un mauvais goût où le sarcasme et le cynisme poussés à l’extrême dépassent de loin ceux d’Hara-kiri dans le même registre.

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Bon, pourquoi pas ? Nous aimions les provocations d’Hara-kiri et nous aimons celles de Cattelan encore plus radicales en moins vulgaire ou populaire…Nous avons en effet le droit d’ aimer ce très mauvais goût, car il fait preuve de très haute distinction d’esprit et d’infinie délicatesse de cœur ; parce que c’est un mauvais goût de luxe en quelque sorte, et parce qu’il se mariera très bien, dans les pages de « M », avec ce dont il se moque : toutes ces peines pages de publicités pour les parfums, les pompes, les sacs, les automobiles et les montres destinées à l’élite dirigeante lectrice du journal Le Monde.

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Mais ce que je reprocherai à « M », c’est de ne pas nous avoir informé que Maurizio Cattelan est un des artistes contemporains les plus chers du monde , que ses oeuvres, telles « Le Pape écrasé par une météorite », le « Hitler en premier communiant », le cheval avec la tête plantée dans un mur vertical », etc, sont des produits financiers qui ont vu leur cote s’envoler, depuis que l’artiste s’est moqué de la cupide vanité de ses collectionneurs milliardaires en affrétant pour eux un gros avion, pour en acheminer une centaine à un luxueux cocktail au milieux des montagnes d’immondices de la déchetterie de Palerme…La classe quoi !

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Ceci pour dire ce que « M » ne dit pas : que le cynisme est un des attributs indispensables de l’hyper mauvais goût de grande classe pour hyper-riches…à une époque où même Mr Mélanchenot a le bon goût de ne plus parler de lutte des classes.

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5 - Vieux motard (contemporain) que jamais !

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Il y a deux ans, au Musée d’Art Contemporain de Lyon, on avait pu voir exposée l’authentique Harley Davidson du fabuleux monochromiste motocycliste Mosset (dit pour cela Momomo)…

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Le MAC remet ça dans le même registre cette année avec une exposition intitulée « motopoétique » conçue et curatée par le fabuleux critique historien d’art Paul Ardenne, fervent adepte des arts extrêmes et de la motocyclette depuis son plus jeune âge et compagnon de l’exquise Catherine M . lors de folles chevauchées motopoétiques pétaradantes dans les années 90 sur les routes du Lubéron.

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En annexe de l’événement il y aura :

1- le dimanche 9 mars après-midi, », pour la « Journée internationale pour les droits des femmes » aura lieu le 3ème rassemblement à Lyon « Toutes en Moto »

2-Un tatouage éphémère sera offert aux visiteurs motards pour l’achat du billet d’entrée à l’expo

En savoir plus : http://www.mac-lyon.com/static/mac/contenu/fichiers/dossiers_presse/2014/dp_motopoetique.pdf

3-Paul Ardenne le curator de l’expo nous parle, en dix mots, de sa mobylette* Un morceau d’anthologie de la crétinerie prétentieuse http://www.mac-lyon.com/mac/sections/fr/expositions/2014/motopoetique/vidaos

4- CAFES MOT’ART AU MAC LYON Dans une ambiance conviviale, au café du musée, les Cafés Mot’Art vous proposent de débattre de cette thématique artistique et motarde : Le tatouage, entre marginalité et conformité sociale

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Mais la question qui se pose : est celle de savoir s’il est acceptable qu’argent et lieu public soient ainsi mis à disposition pour de ce genres petites fantaisies motocyclistiques personnelles sans grand intérêt artistique… même si l’on peut escompter que cette exposition à cause de son caractère léger et divertissant, puisse plaire à une certaine branchitude culturelle lyonnaise, qui pense peu, qui aime peu, qui se contente de peu, et qui a évité d’aller voir l’expo Cornell au Musée Saint – Pierre, parce que c’est trop dense pour elle.

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J’ai ici une pensée pour le grand poète Georges Perros, dont bien sûr on ne parle pas dans cette expo, mais dont la moto 75 Terrot avait pourtant une vraie dimension poétique. (voir image 03 jointe)

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6 – « Il y a trop de faux artistes, d’escrocs et d’imposteurs dans l’art contemporain »

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Sur cette video de 5 minutes Eric Emmanuel Schmitt, dramaturge, romancier, nouvelliste, essayiste, cinéaste, d’origine lyonnaise, qui est un des auteurs français les plus connus dans le monde, nous dresse un tableau implacable de l’art d’aujourd’hui, art du discours, de la transgression et de la provocation systématiques à but publicitaire et financier, etc… et ses analyses rejoignent très exactement les nôtres…

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http://www.youtube.com/watch?v=3gnc5vfYDz8&feature=youtu.be

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7 – Un gros tas de terre

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Voici (image 05) un gros tas de terre installé dans un appartement … Cette présence pour le moins énigmatique déclenche chez le regardeur qui la voit – mais n’y est pour rien contrairement à la formule de Duchamp – l’activation immédiate du lobe cervical dédié aux interrogations, supputations et hypothèses…De quoi s’agit-il ? Quelle est l’origine ou la raison de cette énorme taupinière ? S’agit-il d’un habile photo-montage ? S’agit-il d’une farce faite à un ami pendant qu’il est parti en vacances ? S’agit-il d’un éboulement de terrain passé par la cheminée comme le père Noël ? S’agit-il d’une fantaisie d’architecte d’intérieur ? S’agit-il d’une malfaisance envers le propriétaire qui ne veut pas rembourser la caution de l’appartement que l’on vient de quitter ? Non, tout cela ne semble guère vraisemblable… La seule explication plausible …Mais oui ! Mais c’est bien sûr : c’est une œuvre d’art con-tem-po-rain !

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Mais je ne vous révélerai pas le nom cet artiste – en voie forcément d’émergence sur la scène internationale – , ni le lieu de ce travail in situ, ni comment cette terre à été montée dans les étages, ni le type de questionnement sociétal qui le sous-tend , ni sa date de fabrication, ni la subvention allouée à son auteur, ni le nombre de bestioles sacrifiées – courtilières, larves, vers de terre, taupes, mulots – qui sont encore dedans, ni son prix d’achat par le FRAC le plus proche, ni dans quelle école d’art l’artiste à été formaté, ni si Paul Ardenne a déjà écrit sur son travail, ni le nom du fonctionnaire de la DRAC qui a donné un avis favorable pour le financement de l’opération…Parce que tout cela n’a guère d’intérêt : l’important étant que cette réalisation ahurissante ait pu être faite quelque part, ait pu exister un jour, comme témoignage de la folie furieuse d’une époque….Et parce que le plus grave, c’est qu’il ne s’agit pas d’une imposture (comme celles évoquées plus haut), mais bien d’un acte parfaitement sincère pour son auteur, assurément convaincu de son utilité eschatologique comme « process à haute potentialité discursive et métaphorique », à cause de l’état de délabrement total où se trouve ses fonctions cérébrales suite au terrifiant conditionnement sectaire qu’elles ont dû subir pour être adoubé par les réseaux « art contemporain ».

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8 – Enfin un vrai débat !

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Notre ami et envoyé spécial Yvain Bornibus était présent au Mot’art Café du MAC Lyon pour assister au débat très convivial sur le tatouage chez les bikers. Et voici l’extrait qu’il nous a envoyé de la discussion :

- Oui, là-bas, Monsieur, vous souhaitez exprimer votre point de vue, nous vous écoutons.

- En fait, Monsieur l’anthropologue, c’est vrai qu’après, effectivement, à la base, je sais que moi y compris, enfin je veux dire, de mon point de vue, parce que là, on est sur des avis personnels, donc voilà…

- On ne saurait mieux dire, je vous remercie… Ah, peut-être un mot à ajouter…Madame dans le fond…

- Oui, je suis Juliette Danlefond et je veux dire que personnellement, je sais ce que je pense, maintenant, vous voyez, chacun est libre, on est en république.

- Mais tout à fait, absolument, il n’y a aucun souci, c’est sans problème chère Madame Danlefond, vous avez raison et c’est votre façon de relancer le débat, nous sommes bien d’accord. Quelqu’un souhaite intervenir sur cette déclaration un peu provocatrice… A vous Monsieur…

- Écoutez, j’allais dire, enfin, à cette dame… si vous n’êtes pas d’accord, ça n’est pas une raison pour faire ce genre de sous- entendu. On n’est pas là pour donner son opinion mais tout de même, il y a des façons de faire. À la limite, il faut laisser les gens s’exprimer.

- Effectivement !.. Oui peut-être un premier commentaire de notre invité, M. Duvent , sémiologue… et motocycliste !

- Non, juste pour dire qu’effectivement, il y a dans le rapport à cet enjeu motocyclistique une problématique du non-dit qui renvoie à une espèce d’articulation stylistique qui serait de l’ordre d’une absence d’énoncé. Absence pétaradante de sens, j’allais dire si ce n’était redondant, dont on peu présupposer, et c’est ce que vous venez de faire habilement Monsieur, si je vous ai bien compris (petit rire de connivence), qu’il n’y a lieu d’exprimer maintenant que dans la mesure ou il ne s’oppose pas à un concept d’échappement libre ou de béance sonore de la signification. Je veux dire : celui-la même qui semble à l’œuvre dans votre formulation en tant que conscience de sa propre vacuité ontologique.

(vrombissements de moteurs dans le public des bikers tatoués qui se retient d’applaudir – on est pas sur un plateau télé quand même !)

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9 – Poubelle la vie !

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L’employée d’une galerie d’art italienne a jeté par mégarde une pièce d’art contemporain de Paul Branca destinée à enrichir une exposition sur les menaces qui pèsent sur notre écosystème.­­­­­ Il s’agissait, comme le montre la photo n° 5 jointe, d’une poubelle pleine de déchets générés par le conditionnement des produits de consommation.

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Cette méprise, plutôt hilarante à première vue, a été répercutée par tous les médias du monde et buzzée des millions de fois sur internet…Mais pas une fois il n’a été signalé que l’œuvre en question, mise à prix 10 000 euros, ne pouvait être achetée que par ceux qui tirent profit du système de surconsommation qu’elle dénonce…Pas une fois n’ont été évoqués le cynisme et la perversité d’une logique de communication qui fait que la critique d’un système est un argument marketing et de consolidation de ce même système…où un Maurizzio Cattelan est capable, pour consolider sa cote sur le marché, de se déguiser lui-même en femme de ménage pour enfermer son galeriste Perrotin dans une poubelle et le jeter à la benne comme la plus belle des ordures capitalistes.(Il a fait en réalité l’équivalent en le scotchant au mur de sa galerie)

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Image jointe n° 4 Eléments de l’exposition «Display Mediating Landscape», à la galerie Murat de Bari, en Italie. (Photo Paul Branca. Facebook)

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10 – Des ultramodernes primitifs

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Par Dario Caterina

Une alternative à l’imagerie de l’image dans l’art contemporain actuel ?

http://droitdecites.org/2014/03/08/les-ultramodernes-primitifs/

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Schtroumpf Emergent

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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, chronique, critique, dialogues, Discussion, exposition, installation, lecture, lettre, littérature, Nicole Esterolle, Nouveau média, Papier14, pictural, publication, rédacteur, réflexion, Schtroumpf Emergent, sciences humaines, scientifiques, sculpture, vernissage Tagged: Aude de Kerros, burénien, Buren, Champagne Pommery, Cornell au Musée Saint – Pierre, Damien Hirst, Dario Caterina, Des ultra-modernes primitifs par Dario Caterina, Des ultramodernes primitifs, Duchamp, Editions Guillaume de Roux, Eric Emmanuel Schmitt, Fabrice Hybert, Frédégonde de Lécharpensoye, galeriste Perrotin, Georges Perros, Hermès, Il y a trop de faux artiste d’escrocs et d’imposteurs dans l’art contemporain, Juliette Danlefond, La chronique n° 51, La chronique n° 51 - Nicole Esterolle / Là où Buren passe l'art trépasse...‏, Là où Buren passe l'art trépasse...‏, Le Vadrouilleur urbain (Arts visuels), M. Duvent, Marie Salantin, Maurizio Cattelan, Nicole Esterolle, Paul Branca, Pierpaolo Ferrari, Pierre- Marie Ziegler, Toiletpaper, Vuitton, Yvain Bornibus

LE MUSÉE McCORD INVITE LES MONTRÉALAIS À SE MOBILISER POUR CONTRIBUER À L’ACHAT DU TABLEAU BIENVENUE À L’ATELIER : UNE ALLÉGORIE DE LA RÉFLEXION ARTISTIQUE ET DE LA TRANSFORMATION DE KENT MONKMAN

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Bienvenue à l’atelier : une allégorie de la réflexion artistique
et de la transformation, 2014, acrylique sur toile, © Kent Monkman
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LE MUSÉE McCORD INVITE LES MONTRÉALAIS À SE MOBILISER POUR CONTRIBUER À L’ACHAT DU TABLEAU BIENVENUE À L’ATELIER : UNE ALLÉGORIE DE LA RÉFLEXION ARTISTIQUE ET DE LA TRANSFORMATION DE KENT MONKMAN

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Le Musée McCord annonce qu’il souhaite acquérir l’oeuvre de l’artiste canadien Kent Monkman, Bienvenue à l’atelier : une allégorie de la réflexion artistique et de la transformation, réalisée dans le cadre de son programme Artiste en résidence et actuellement exposée au Musée. Pour ce faire, il fait appel aux Montréalais et aux Amis du Musée pour l’aider à amasser les fonds nécessaires. Un généreux donateur a déjà confirmé qu’il était prêt à contribuer à hauteur de 100 000 $, pourvu qu’une somme équivalente soit recueillie auprès du public et d’autres donateurs.

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« Créée en hommage à Montréal, Bienvenue à l’atelier : une allégorie de la réflexion artistique et de la transformation est une oeuvre qui met en lumière le lien entre la photographie et la peinture, un thème qui a été au coeur des activités du studio Notman et de l’histoire de la photographie au 19e siècle », a déclaré Suzanne Sauvage, présidente et chef de la direction du Musée McCord. « Pour ces raisons et aussi pour l’opportunité qu’elle nous offre de présenter notre collection d’archives photographiques sous un jour nouveau, nous croyons qu’il est important de conserver cette oeuvre au Musée où elle sera exposée en permanence », a-t-elle ajouté.

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Faire un don
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« Je serais heureux que mon œuvre puisse être conservée au Musée McCord, un important musée montréalais situé au cœur d’une ville que j’aime et qui m’a beaucoup apporté et inspiré », a pour sa part mentionné Kent Monkman.

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Les visiteurs souhaitant prendre part à cette initiative sont invités à déposer leur don dans les boîtes disposées à la sortie de la salle d’exposition ainsi qu’à la billetterie du Musée McCord. Il est également possible de faire un don de 50 $ ou plus en téléphonant au 514 398-7100, poste 237, afin qu’un reçu fiscal soit remis, ou encore, très bientôt, en ligne.

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Quelques mots sur Bienvenue à l’atelier : une allégorie de la réflexion artistique et de la transformation

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L’oeuvre Bienvenue à l’atelier : une allégorie de la réflexion artistique et de la transformation, soit un tableau mesurant 7,3 m (24 pi) de long sur 1,8 m (6 pi) de haut, fait référence au célèbre tableau de Gustave Courbet, L’Atelier du peintre. Allégorie réelle déterminant une phase de sept années de ma vie artistique et morale (1855), considéré par plusieurs comme un manifeste du réalisme au 19e siècle.

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Tout comme Gustave Courbet, Kent Monkman se représente dans un atelier imaginaire afin de porter un regard sur la pratique artistique qu’est l’art de la peinture. Au moyen d’un riche langage allégorique, il personnifie sa réflexion sous forme d’autoportrait qui emprunte à la fois au peintre Courbet et au photographe Notman. Les autres personnages qui l’entourent, peints d’après plus d’une trentaine de portraits puisés dans les Archives photographiques Notman, sont regroupés de manière à respecter l’arrangement des figures dans l’oeuvre de Gustave Courbet.

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Faisant partie de l’installation, les reproductions des photographies des Archives Notman, à la source des figures peintes par Monkman, sont disposées sur l’un des murs de la salle d’exposition afin que le public puisse les découvrir une à une. Pour conclure l’expérience, le visiteur est convié à prendre place au coeur de l’installation et à voir la réflexion de son visage se superposer aux traits de l’artiste, puis à se photographier.

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MUSÉE McCORD
690, rue Sherbrooke Ouest
Montréal (Québec)
H3A 1E9
514 398-7100

À propos du Musée McCord Le Musée McCord se consacre à la préservation, à l’étude et à la mise en valeur de l’histoire sociale de Montréal d’hier et d’aujourd’hui, de ses gens, de ses artisans et des communautés qui la composent. Il abrite l’une des plus importantes collections historiques en Amérique du Nord, composée d’objets des Premiers Peuples, de costumes et textiles, de photographies, d’arts décoratifs, de peintures et d’estampes, et d’archives textuelles, totalisant plus de 1 400 000 artefacts. Le Musée McCord présente des expositions stimulantes qui interpellent les gens d’ici et d’ailleurs en posant un regard actuel sur l’histoire. Il offre également des activités éducatives et culturelles et développe des applications Internet innovatrices. Musée McCord, notre monde, nos histoires.

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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, dons, exposition, installation, Musée McCord, pictural Tagged: Amis du Musée, artiste canadien Kent Monkman, Gustave Courbet, Kent Monkman, Musée McCord, photographe Notman, réflexion artistique, Suzanne Sauvage, UNE ALLÉGORIE DE LA RÉFLEXION ARTISTIQUE ET DE LA TRANSFORMATION

Richard Mill –Œuvres récentes / Galerie Lacerte art contemporain (QUÉBEC)

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Crédit photo: Léna Mill-Reuillard

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Richard Mill

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Œuvres récentes

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Du 22 mars au 15 avril 2014
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Vernissage

22.03.14

14 h à 17 h

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| À LA GALERIE DE QUÉBEC|
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Après sept ans d’absence la galerie Lacerte art contemporain est heureuse d’accueillir pour une septième fois en ses murs la nouvelle production de Richard Mill. Cette exposition regroupe une série d’acryliques sur toile de grands formats réunies sous le titre Œuvres récentes.

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Dans un article paru en 2006, le critique d’art André Seleanu parlait en ces termes des oeuvres de Richard Mill : « Fidèle à des choix stylistiques qui marquent sa carrière, Richard Mill explore avec la fougue qui lui est caractéristique des vecteurs qui construisent son univers plastique : densité, direction et dynamisme du trait, élan du geste, la démarcation d’une frontière entre espace vide et plein, référence figurative et indices qui marquent la création d’un état de réception de l’œuvre chez le spectateur. Présence incontournable et discrète à sa manière, du paysage artistique québécois, Richard Mill propose une perception épurée des formes, qui se lisent en tant que Gestalten, plutôt qu’en tant que discours. » 1

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Depuis 40 ans, le peintre poursuit un travail dominé par le geste et la couleur ou la peinture constamment remise en cause, est davantage matière que représentation. Ses outils sont souvent les mêmes depuis les années 70. Couleurs à l’acrylique directement sorties du tube, graphyte, peinture en aérosol, ruban adhésif sont utilisés pour délimiter certaines zones ou pour dessiner des formes. Il utilise des stencils pour titrer ses toiles et les signer. Devant ses tableaux on fait ces constants aller-retour entre ce qui est représenté et la matière; entre la couleur, un trait et une forme reconnue; entre un mot et ce qu’il évoque. « Cette distance est garante de la profondeur d’un tableau… » précise l’artiste.

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- Richard Mill vit et travaille à Québec où il a enseigné plus de trente ans à l’École des arts visuels de l’Université Laval. Il expose ses œuvres depuis le début des années 70 et il a à son actif plus d’une quarantaine d’expositions individuelles. Le Musée d’art contemporain de Montréal lui a consacré une exposition solo en 1978 et le Musée national des beaux-arts du Québec a fait de même à deux reprises soit en 1978 et en 1996. Fait exceptionnel, il a reçu à deux reprises le prix Videre remis par l’association des artistes professionnel(le)s en arts visuels de Québec. En 1995, il reçoit le prix "Reconnaissance" pour l’ensemble de sa carrière et en 2001 il reçoit le prix "Événement" récompense attribuée à l’artiste dont la récente production s’est démarquée de l’ensemble de la programmation artistique régionale en arts visuels.

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1 André Seleanu, De la vélocité du trait : Richard Mill, Vie des arts, hiver 2006, No 201, p. 69

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Galerie Lacerte art contemporain
1, côte Dinan
Québec, Qc
G1K 3V5
(418) 692-1566
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, pictural, réflexion, vernissage Tagged: AGAC, André Seleanu, Association des galeries d’art contemporain (AGAC), École des arts visuels de l’Université Laval, De la vélocité du trait, GALERIE DE QUÉBEC, Galerie Lacerte art contemporain, Richard Mill, Richard Mill - Œuvres récentes / Galerie Lacerte art contemporain (QUÉBEC), ville de québec, Œuvres récentes

ix immersion • expérience – Symposium international sur la créativité immersive / Société des arts technologiques [SAT]

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ix immersion • expérience
 
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Symposium international sur la créativité immersive
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La SAT annonce la première édition du Symposium ix
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lors du Sommet Imersa 2014 à Denver au Colorado

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Du 21 au 25 mai 2014
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La Société des arts technologiques [SAT] annonce la tenue de la première édition du Symposium ix qui se tiendra à Montréal, du 21 au 25 mai 2014. Le Symposium ix invite les créateurs, chercheurs, formateurs, producteurs, diffuseurs à partager leurs savoirs, leurs expériences et leurs projets. Il invite également les amateurs d’art numérique d’avant-garde, qui partagent leur passion pour l’expérience immersive, à participer aux discussions et à assister à une sélection d’œuvres présentées en grande première dans la Satosphère.

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Une série de conférences principales, de tables rondes, d’ateliers, de démonstrations seront suivies en soirée de présentations d’œuvres inédites et d’échanges avec les artistes. L’objectif du Symposium ix est de faire le point sur l’état des techniques et sur la création immersive d’avant garde; de favoriser l’émergence d’un discours critique; de travailler à la standardisation des formats et des processus pour favoriser le développement d’un réseau de création et de diffusion; et de prendre action sur les enjeux communs pour accélérer l’émergence d’un secteur des arts numérique parmi les plus innovants. Il vise enfin à faire apparaître un domaine et une communauté qui se distingue par son dynamisme et son innovation.

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Des conférences de Jeffrey Shaw (School of Creative Media of Hong Kong, CHN), Miller Puckette (Max/MSP & Pure Date co-créateur, US), Michael Naimark (MIT Media Lab, US), Martin Kusch (University of Applied Arts Vienna, AUT) et David McConville (Buckminster Fuller Institute, US) ouvriront les discussions sur les thématiques principales. Elles seront suivies par des artistes, chercheurs et praticiens qui feront état des aspects particuliers de leurs pratiques. Au total, c’est plus de 50 participants d’une vingtaine de villes et d’une dizaine de pays qui prendront part à cet important rassemblement d’innovateurs en expérience immersive.

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ix immersion • expérience
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Symposium international sur la créativité immersiveSociété de arts technologiques [SAT] Montréal,
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21-25 mai 2014
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Passes en prévente dès maintenant au ix.sat.qc.ca jusqu’au 4 avril
Prix: 400 $ (CAD) + tx &fsÉtudiants: 200 $ (CAD)+ tx &fsIncluant : Cocktail d’ouverture4 jours de symposium

4 spectacles + repas

Pour plus d’informations : ix.sat.qc.ca

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ix immersion experience


International Symposium on immersive creativity

SAT announces the first edition of the ix Symposium


at the 2014 Imersa Summit in Denver, Colorado.
 May 21 to 25, 2014
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Montreal’s Society for Arts and Technology [SAT] announces the first edition of ix, an international Symposium on immersion and experience to be held on its premises from May 21 to 25, 2014. The ix Symposium welcomes artists, researchers, educators, producers and distributors to share knowledge and experience about immersive and interactive technologies and about the art arising from them. It also welcomes broader audiences to world premieres of cutting edge digital works in SAT’s big dome.

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The ix symposium will provide an open exchange platform through a series of keynotes, panels, demonstrations, performances and immersive productions. An objective of the symposium is to help democratize access to immersive spaces and to the tools and processes used for the creation of original contents. Another objective is to foster a network facilitating the creation of a community and the circulation of people, ideas, and works. This will help rethink the models of production, the formats, the delivery systems, and the creative processes needed to maintain and nurture an international platform for strong artistic expressions and open innovation.

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Keynotes by Jeffrey Shaw (School of Creative Media of Hong Kong, CHN), Miller Puckette (Max/MSP & Pure Data co-creator, US), Michael Naimark (MIT Media Lab, US), Martin Kusch (University of Applied Arts Vienna, AUT) and David McConville (Buckminster Fuller Institute, US) will launch the discussions of the main themes of the symposium. They will be followed by artists, researchers and practitioners, who will illustrate their side of the practice. Overall, more than 50 participants from 20 cities and 10 countries will take part in this important gathering of innovators in immersion and experience.

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 ix immersion • experience

International Symposium on immersive creativity

Society for Arts and Technology [SAT]

May 21 to 25, 2014

Passes in pre-sale available now at ix.sat.qc.ca until April 4th
Price : 400 $ (CAD) + tx & Students:200 $ (CAD) + tx &fsIncluding : opening cocktail4 symposium day passes

4 shows + lunch

More informations at ix.sat.qc.ca

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Société des arts technologiques [SAT]
1201, boul Saint-Laurent
Montréal, QC
H2X 2S6
(514) 844-2033
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Classé dans:animation, art visuel, arts numériques, arts technologiques, Arts visuels, installation, performances, réflexion Tagged: AUT) et David McConville (Buckminster Fuller Institute, CHN), ix immersion • expérience, ix immersion • expérience - Symposium international sur la créativité immersive / Société des arts technologiques [SAT], Jeffrey Shaw (School of Creative Media of Hong Kong, Martin Kusch (University of Applied Arts Vienna, Michael Naimark (MIT Media Lab, Miller Puckette (Max/MSP & Pure Date co-créateur, Satosphère, Société de arts technologiques [SAT] Montréal, Sommet Imersa 2014 à Denver au Colorado, Symposium international sur la créativité immersive, US)

Marie-Ange BRASSARD – Il suffit d’un peu de doute / L’espace contemporain galerie d’art de Montréal

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ma Brassard -2m
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Marie-ange 
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BRASSARD
 
 
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« Il suffit d’un peu de doute »
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Du 18 au 30 mars 2014
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L’espace contemporain galerie d’art, présentera, du 18 au 30 mars 2014, « Il suffit d’un peu de doute », une exposition solo de l’artiste Marie-Ange BRASSARD. Le vernissage aura lieu, le dimanche 23 mars de 14h @ 16h. Vous y êtes cordialement invités. Le public aura accès à la galerie aux heures suivantes : mardi et mercredi de 12h à 18h, jeudi et vendredi de 12h à 20h, samedi et dimanche de 12h à 17h.

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L’EXPOSITION « Il suffit d’un peu de doute »

L’artiste Marie-Ange BRASSARD nous plonge dans son univers particulier pour nous faire découvrir son travail de l’estampe en relief à travers sa sensibilité du moment. Elle questionne l’empreinte de la matrice et l’effet qu’elle laisse, conjuguant ainsi avec la spontanéité de l’instant, la polyvalence et la rigueur du savoir-faire de cette technique artistique.

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L’exposition « Il suffit d’un peu de doute » nous propose différentes séries d’oeuvres qui se veulent la démonstration d’un amour flagrant pour les papiers et les fibres textiles. Les transparences, les opacités, les espaces vides ou pleins gardent en mémoires toutes les étapes de production pour se rendre à la finalité de l’oeuvre.

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Une exposition qui nous fait pénétrer plus profondément dans des espaces dont l’esthétisme et l’harmonie rencontrent cette sensibilité artistique indéniable.

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L’ARTISTE – Marie-Ange BRASSARD

Artiste autodidacte et pluridisciplinaire qui conjugue avec la spontanéité, la polyvalence et la rigueur. Marie-Ange Brassard utilise l’acte de créer pour s’exprimer artistiquement, pour se manifester ou pour témoigner de différents points de vue. Sa recherche et sa démarche sont toujours en évolution et ne cessent de se perfectionner. Elle utilise une diversité de techniques créatrices, conjuguant avec la peinture, le monde de l’estampe et les technologies numériques. Ses influences et ses inspirations rejoignent souvent le regard artistique du travail de Antoni Tapies, de Paul Klee et Francine Simonin.

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L’espace contemporain galerie d’art de Montréal
5175, ave. Papineau
Montréal , Qc
H2H 1W1
(514) 728-4474
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, Estampe, exposition, fibres textiles, installation, pictural, réflexion Tagged: ANTONI TÀPIES, « Il suffit d’un peu de doute », de Paul Klee et Francine Simonin, Marie-Ange BRASSARD, Marie-Ange BRASSARD - Il suffit d’un peu de doute / L'espace contemporain galerie d'art de Montréal

Le Monde des religions n° 64 – Mars-Avril 2014 / Loin du fondamentalisme l’Islam le vrai

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Loin du fondamentalisme l’Islam le vrai
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N° 64
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Mars-Avril 2014

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Le Monde des Religions est un bimestriel fondé en septembre 2003 lors de la fusion du Groupe La Vie – Le Monde, par Frédéric Lenoir. Seul magazine proposant une approche laïque du fait religieux, il propose un décryptage distancié de la religion et de la spiritualité à travers des dossiers thématiques, des grandes enquêtes, des analyses, des reportages, des débats contradictoires, des entretiens avec les meilleurs spécialistes.
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Abonnements
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Classé dans:dialogues, Discussion, discussions, lancement, Le Monde des Religions, lecture, lettre, littérature, Magasine, Magazine culturel, maison d’édition, médias, publication, rédacteur, réflexion, rencontre, revue, scientifiques, Texte Tagged: Le Monde des religions n° 64 / Mars-Avril 2014 / Loin du fondamentalisme l'Islam le vrai

Francine Metthé et Frédéric Metthé – CRIS ET CHUCHOTEMENTS / Galerie Fabienne Rhein

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œuvre: Frédéric Metthé
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Francine Metthé

et Frédéric Metthé

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“CRIS ET CHUCHOTEMENTS” 
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Du 1er au 19 avril 2014 
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VERNISSAGE
JEUDI
03.04.14
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CRIS ET CHUCHOTEMENTS, est une exposition de tableaux de différents formats, en techniques mixtes qui réunit deux artistes, frère et sœur, Frédéric et Francine Metthé.

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CRIS ET CHUCHOTEMENTS, c’est un chant de l’âme, le résultat d’une quête, le reflet d’une créativité, d’une démarche. Une phrase, longue comme un sentier qui n’en finit plus et qui s’approche parfois de la lumière; plainte surchargée de pigments qu’on appelle, la peinture.

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CRIS ET CHUCHOTEMENTS, c’est Francine Metthé et ses élucubrations d’une apostasiée. Une réflexion en profondeur sur sa vision de ce qu’est un péché capital à notre époque. Le tout présenté sous la forme des « 14 stations de chemin de la croix », intercalées d’œuvres de type iconiques.

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CRIS ET CHUCHOTEMENTS, c’est Frédéric Metthé et son univers abstrait, avec ses arabesques et ses ogives qui nous rappellent les vitraux des grandes cathédrales. Une invitation au recueillement, au silence et à l’introspection.

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CRIS ET CHUCHOTEMENTS, est l’écho qui retient les cordes de leurs voix, fixées à leurs états d’âme. À partir de la noirceur, de la nuit même, les deux artistes cherchent la lumière. Puis, par certains gestes dont ils ne connaissent pas encore toute la portée, la peinture, sans cesse mutante, par les pores de la toile surgit, comme un son qui sortirait de la gorge, à chaque fois semblable mais jamais tout à fait le même.

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Ce serait un péché que de ne pas marier ces deux propositions.

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Galerie Fabienne Rhein
1366 Rue Ontario Est
Montréal, QC
H2L 1S1
T :(514) 797-0810
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, pictural, réflexion, vernissage Tagged: 1366 Rue Ontario Est, Francine Metthé, Francine Metthé et Frédéric Metthé - CRIS ET CHUCHOTEMENTS / Galerie Fabienne Rhein, Frédéric Metthé, Galerie Fabienne Rhein

Manuela Lalic – BRAINSTORMING / Le Lieu, centre en art actuel

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BRAINSTORMING
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Manuela Lalic
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DU 28 MARS AU 20 AVRIL
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VERNISSAGE
VENDREDI
28.03.14
17 H
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Le Lieu, centre en art actuel vous convie du 28 mars au 20 avril à voir l’installation Brainstorming de Manuela Lalic. Dans le cadre de cette exposition, l’artiste porte une attention particulière à l’aspect fonctionnaliste de notre système d’organisation sociale. Elle questionne les mouvements de masse, la standardisation de nos désirs et de nos besoins préfabriqués.

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Dans le projet Brainstorming, Lalic élabore des mises en scène à la fois inquiétantes et joyeuses qui questionnent avec ironie nos moments collectifs. Parfois exubérantes ou plus minimalistes, ses images, installations et performances, habitées par des préoccupations d’ordre politique et écologique, offrent différents niveaux de lecture.

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L’artiste mêle l’organique à l’artificiel, le métallique au végétal. Elle utilise des accumulations d’objets communs comme des tables, des trombones qu’elle triture, déforme 100 000 fois et qu’elle associe ensuite à du vivant. Lalic réfère ainsi à l’idée d’une «nature objectifiée» et cherche continuellement à révéler les points de tension entre ce qui est de l’ordre du collectif et ce qui est de l’ordre individuel.

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Manuela Lalic a présenté son travail au Canada, aux États-Unis, en Europe, au Liban, au Japon, en Chine et en Inde. Finaliste du prix Powerhouse 2012 et récipiendaire du prix Pratt et Whitney Canada (2009), elle a obtenu la résidence du Conseil des arts du Canada (International Studio and Curatorial Program) à New York (2009) et plus récemment, en 2014, elle a effectué une résidence au Sandarbh Artists Residency (Rajasthan, Inde). Elle prépare actuellement plusieurs expositions, notamment dans le cadre de projets collectifs à la Galerie RDV (Nantes, France) et au Musée National de l’Estampe à Mexico.

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TOUTES NOS ACTIVITÉS SONT GRATUITES ET POUR TOUS

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Le Lieu, centre en art actuel
345, rue du Pont
Québec (Québec)
G1K 6M4
Tél. : 418-529-9680
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Actif à Québec depuis 30 ans déjà, Le Lieu, centre en art actuel est engagé dans des activités sédentaires à Québec ainsi que dans des opérations nomades, activités et projets au Québec comme à l’étranger. Le caractère multidisciplinaire du centre fait côtoyer installation, performance, manœuvre, art action, art audio, poésie sonore, vidéo et autres explorations des paramètres de l’expressivité artistique.


Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, performances, réflexion, vernissage Tagged: (International Studio and Curatorial Program) à New York (2009), BRAINSTORMING, Conseil des Arts du Canada, France, Galerie RDV (Nantes, Inde), Le Lieu centre en art actuel, Manuela Lalic, Manuela Lalic - BRAINSTORMING / Le Lieu centre en art actuel, nature objectifiée, Sandarbh Artists Residency (Rajasthan

La Rencontre interuniversitaire de performance actuelle (RIPA) vous convie à une soirée de performance présentant le travail de six artistes émergent.es provenant de diverses universités du Québec.

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Carolyne Paquette, Étude pour projet (Gâteau-Coquille), 2013,

Crédit : Shanie Tomassini

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La RIPA 
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(Rencontre interuniversitaire de performance actuelle) 
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Les 5 et 6 avril 2014
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La Rencontre interuniversitaire de performance actuelle (RIPA) vous convie à une soirée de performance présentant le travail de six artistes émergent.es provenant de diverses universités du Québec.

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Artistes
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Jean-Michel René (UL)
Jack Wong (NSCAD)
Beck Gilmer-Osborne (NSCAD)
Marie-Claude Gendron (UQAM)
Catherine Lescarbeau (UQAM)
Carolyne Paquette (UQAM)
Pier-Antoine Lacombe (UQAM)
Kyle Martens (NSCAD)
Steven Girard (UL)
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La Rencontre interuniversitaire de performance actuelle (RIPA) innove pour sa troisième édition en proposant une table ronde animée par différent.es acteur.trices du milieu de la performance. La table ronde sera divisée en deux panels :

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1) Le collectionnement, la mise en exposition et la diffusion de la performance

- Shannon Cochrane (performeuse et directrice du FADO)

- Amélie Giguère (chercheuse indépendante)

- Lesley Johnstone (conservatrice au Musée d’art contemporain de Montréal)

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2) Conversation autour de la pratique : l’histoire, le langage et les codes de la performance

- Sophie Castonguay (performeuse et chargée de cours à l’UQAM)

- François Morelli (artiste et professeur à l’Université Concordia)

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La RIPA (Rencontre interuniversitaire de performance actuelle) est une initiative étudiante née en 2012, qui vise à promouvoir la pratique d’artistes émergent.es appartenant au réseau universitaire du Québec et des provinces canadiennes avoisinantes. Elle a comme mandat de créer un contexte favorable aux échanges, en sollicitant différent.es acteur.trices du milieu de la performance. La RIPA propose un état de la réflexion artistique actuelle en sélectionnant des propositions singulières d’artistes étudiant.es émergent.es dont la pratique se démarque par leur apport significatif dans leur paysage local respectif et sur la scène nationale.

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Évènement gratuit, ouvert à toutes et à tous

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www.ripa-performance.org

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Soirée de performance : 5 avril 2014 à 19h
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5$ en pré-vente, 7$ à la porte
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Salle polyvalente de l’UQAM
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200, rue Sherbrooke Ouest, (local SH-4800)
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Montréal, Qc
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H2X 3P2
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Table ronde : 6 avril 2014 de 13h à 17h

Salle polyvalente de l’UQAM

200, rue Sherbrooke Ouest, (local SH-4800)

Montréal, Qc

H2X 3P2
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, performances, réflexion Tagged: Amélie Giguère, Beck Gilmer-Osborne, Carolyne Paquette, Catherine Lescarbeau, François Morelli, Jack Wong, Jean-Michel René, Kyle Martens, La Rencontre interuniversitaire de performance actuelle (RIPA) vous convie à une soirée de performance présentant le travail de six artistes émergent.es provenant de diverses universités du Québ, La RIPA, Lesley Johnstone, Marie-Claude Gendron, Pier-Antoine Lacombe, Rencontre interuniversitaire de performance actuelle, Shanie Tomassini, Shannon Cochrane, Sophie Castonguay, Steven Girard

Le Cercle Psy – TCC: Les meilleures thérapies No 12

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TCC : Les meilleures thérapies ?
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N°12 – mars/avril/mai 2014
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Le dossier du Cercle Psy No 11 s’intitulait « Les psys vus par leurs patients ». Et lorsqu’en 2012 les polémiques relatives à l’autisme ont pris une ampleur inédite, nous avons ouvert un espace de témoignages sur notre site web pour que les patients et leurs familles puissent raconter la réalité de leur quotidien et de leur prise en charge.

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Aujourd’hui, nous allons plus loin : nous vous invitons à vous exprimer, quelles que soient les raisons qui vous poussent à consulter, ou quels que soient les troubles dont souffrent vos proches.

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Que vous soyez concerné(e) par le stress, la dépression, une phobie, un trouble obsessionnel compulsif, un trouble bipolaire, la schizophrénie, l’anorexie ou la boulimie, un trouble « dys », un traumatisme… Racontez-nous ! Quelles sont vos difficultés réelles jour après jour, avec votre famille, vos amis, vos collègues ? Et que pensez-vous de l’aide qu’entend apporter votre psy (psychologue bien sûr, mais aussi psychiatre, psychanalyste, psychothérapeute, psychopraticien…) ? Avez-vous l’impression que c’est efficace ? Que vous êtes compris(e) et respecté(e) ?

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Rendez-vous sur notre site www.le-cercle-psy.fr, et témoignez, en toute liberté. Nous relaierons votre parole dans nos futures publications. Ainsi, Le Cercle Psy se fera l’écho non seulement des psychologues, mais aussi des usagers, souvent désespérément absents de la presse spécialisée en psychologie. Dans le paysage médiatique des psys, faites entendre une voix différente : la vôtre !

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Abonnements

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(ici)
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L’Origine du Monde – Miguel Chevalier / Grand Palais

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Installation événement
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L’Origine du Monde 
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Miguel Chevalier 
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Du 26 au 29 mars 2014 de 19h30 à minuit, L’Origine du Monde , la nouvelle création numérique monumentale de Miguel Chevalier sera projetée sur la façade du Grand Palais. 

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Cette installation s’inspire de la biologie, des micro-organismes et des automates cellulaires. Des cellules se multiplient, se divisent, fusionnent, prolifèrent dans un rythme tantôt lent, tantôt rapide. Des tableaux de méga pixels noir et blanc instables glissent progressivement vers des spirales de couleurs vives et saturées qui tourbillonnent et exécutent de véritables chorégraphies sur la musique de Michel Redolfi. Monde organique ou pixellisé, cet univers artificiel semble retrouver celui de la vie. C’est un nouveau « baroque technologique » qui donne forme à l’informe et se renouvelle perpétuellement. Cette installation rend enfin hommage aux artistes du muralisme mexicain, tels que Diego Rivera ou David Alfaro Siqueiros, dont les peintures murales réalisées dans l’espace public rendaient l’art accessible au plus grand nombre.

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BIOGRAPHIE MIGUEL CHEVALIER

Né en 1959 à Mexico, il vit et travaille à Paris. Depuis 1978, l’artiste français utilise l’informatique comme moyen d’expression dans le champ des arts plastiques. Il s’est imposé internationalement comme l’un des pionniers de l’art virtuel et du numérique. Son œuvre, expérimentale et pluridisciplinaire, prend ses sources dans l’histoire de l’art dont il reformule les données essentielles. Son travail aborde la question de l’immatérialité dans l’art, ainsi que les logiques induites par l’ordinateur, tels que l’hybridation, la générativité, l’interactivité, la mise en réseau. Il développe différentes thématiques, telles que la relation entre nature et artifice, l’observation des flux et des réseaux qui organisent nos sociétés contemporaines, l’imaginaire de l’architecture et des villes virtuelles. Les images qu’ils nous livrent interrogent perpétuellement notre relation au monde.

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http://www.miguel-chevalier.com/fr/index.html

 

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Et aussi…

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ART MODERNE + CONTEMPORAIN + DESIGN
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Du 27 au 30 mars 2014
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Quelque 140 galeries venues de 20 pays
LA CHINE À L’HONNEUR, avec plus de 90 artistes représentés
LE SECTEUR GÉNÉRAL, avec un aperçu des tendances
ARTDESIGN, une plateforme vouée à l’exploration des liens entre art et design contemporain
PROMESSES, un secteur pour les jeunes galeriesL’ESPACE ART BOOKS LIBRAIRIE FLAMMARION

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Classé dans:animation, ART PARIS ART FAIR, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, performances, réflexion, vernissage Tagged: Art Paris Art Fair, David Alfaro Siqueiros, Diego Rivera, Grand Palais, L'ESPACE ART BOOKS LIBRAIRIE FLAMMARION, LA CHINE À L'HONNEUR, L’Origine du Monde, Michel Redolfi, Miguel Chevalier, PROMESSES

Le Centre design et impression textile (CDIT) et le Centre des textiles contemporains de Montréal (CTCM) présentent une exposition conjointe intitulée Correspondances

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Mylène Boisvert, Mobile
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Correspondances
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Du 2 avril au 2 mai 2014
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Vernissage
mercredi
02.04.14
17h
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Le Centre design et impression textile (CDIT) et le Centre des textiles contemporains de Montréal (CTCM) présentent une exposition conjointe intitulée Correspondances du 2 avril au 2 mai 2014 à la galerie du Centre des textiles contemporains de Montréal. Le vernissage aura lieu le mercredi 2 avril à partir de 17h. Cette exposition réunie dix designers textiles professionnelles prometteuses et affirmées:

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Mylène Boisvert | Mélanie Champagne | Audrey Fortin | Caroline Gamiette | Marie-Ève Gauthier | Julie B. Lambert | Lucie Leroux | Lheila Palumbo | Monique Ste-Marie | Dagmara Stephan

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Monique Beauregard, Suzanne Chabot, Danny Gauthier et Etienne Proulx sont les commissaires de l’exposition.

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La collaboration étant au coeur de tout projet de design, cette exposition vise à unir des professionnelles du textile afin d’entretenir un dialogue entre les pratiques et ainsi créer des projets innovateurs. L’événement vise également à faire connaître les spécificités du design textile. L’exposition Correspondances sera résolument orientée vers les arts appliqués: des métrages, des échantillons et des projets expérimentaux seront exposés. Les créatrices mettront de l’avant les processus, le savoir faire et l’innovation dans cette discipline et de ses liens avec des milieux connexes et complémentaires: mode, design d’intérieur, objets, ameublement, technologies, etc.

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Les deux institutions unissent désormais leur force pour le développement de projets de collaboration porteurs et pour réaffirmer leur rôle de leaders dans le domaine de l’enseignement du design textile au Québec. Le CDIT est spécialisé en ennoblissement textile (teinture, apprêt, impression, enlevage, dévoré, etc.) et le CTCM, en construction textile (maille, tissage, jacquard, broderie, etc.).

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L’événement est présenté dans le cadre de En avril…fibre textile art 2014. Programmation complète au www.enavril.com

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Centre des textiles contemporains de Montréal
5800 rue Saint-Denis espace 501
Montréal (Québec)
H2S 3L5
Métro Rosemont
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Heures d’ouverture: Du lundi au vendredi de 9h à 16h30
Samedi 12 avril de 10h à 16h
(Journée portes ouvertes)
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, outils éducatifs, réflexion, textile, tissage, tissage Jacquard, tissage jacquard et broderie, vernissage Tagged: Centre des textiles contemporains de Montréal (CTCM), Danny Gauthier, En Avril..., Etienne Proulx, fibre textile art 2014, Le Centre design et impression textile (CDIT), Monique Beauregard, Mylène Boisvert | Mélanie Champagne | Audrey Fortin | Caroline Gamiette | Marie-Ève Gauthier | Julie B. Lambert | Lucie Leroux | Lheila Palumbo | Monique Ste-Marie | Dagmara Stephan, Suzanne Chabot

HÉLÈNE BRUDERLEIN – LE GRAND VOYAGE / Maison de la culture de Côte-des-Neiges

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HÉLÈNE BRUDERLEIN

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LE GRAND VOYAGE

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PHOTOGRAPHIE & VIDÉO
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DU 22 MARS AU 4 MAI 2014 
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 VERNISSAGE
MERCREDI
26.03.14
17 H À 19 H
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La maison de la culture de Côte-des-Neiges est heureuse de vous inviter au vernissage de l’exposition LE GRAND VOYAGE de l’artiste Hélène Bruderlein, présentée du 22 mars au 4 mai 2014.

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Hélène Bruderlein travaille depuis plusieurs années à altérer des portraits anciens pour leur conférer une dimension temporelle additionnelle. C’est le travail du photographe W.J. Topley, provenant des Archives nationales du Canada, qu’elle a choisi pour cette exposition. Engagé par le gouvernement fédéral a"n de photographier les immigrants à leur descente des bateaux à Québec en 1911, les portraits qu’il a produits sont d’une rare intensité. L’espoir, la dignité et le courage sont les émotions qu’a voulu "xer Topley. Le travail d’Hélène Burderlein vient transposer ces émotions et propose un nouveau regard sur les images.

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Usant d’une technique similaire à l’aquarelle, elle attire le spectateur pour venir "xer l’émotion du sujet et ainsi passer outre la matière. L’exposition fait aussi appel à la vidéo en incluant des récits de voyage, en langues originales, de voyageurs ayant e#ectué cette traversée. Ce visuel nouveau est comme la trace d’un moment qui se serait graduellement estompé à travers le temps.

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Hélène Bruderlein a complété un baccalauréat en arts visuels à l’Université Concordia (1987). Après quel- ques années de pratique en dessin et peinture, elle a suivi une formation en photographie à l’école d’art Saidye Bronfman (2002). Elle a exposé en autre au Centre de créativité du Gésu (2011), et au centre culturel de Verdun (2009). Elle a obtenu un 2e prix lors d’un concours de la Société canadienne de l’aquarelle. Elle vit et travaille à Montréal.

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Et aussi…
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Caroline Hayeur
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ADOLAND
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PHOTOGRAPHIE & VIDÉO + MÉDIATION
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DU 15 MARS
AU 27 AVRIL 2014
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Détails (ici)
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Maison de la culture de Côte-des-Neiges
Arrondissement de Côte-des-Neiges / Notre-Dame-de-Grâce
5290, chemin de la Côte-des-Neiges
Montréal (Québec)
H3T 1Y2
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 http://www.accesculture.com/ 

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MAR ET MER : 13 H À 19 H

JEU ET VEN : 13 H À 18 H

SAM ET DIM : 13 H À 17 H
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, photographie, réflexion, vernissage, Vidéo, Vidéos Tagged: ADOLAND, Caroline Hayeur, HÉLÈNE BRUDERLEIN, HÉLÈNE BRUDERLEIN - LE GRAND VOYAGE / Maison de la culture de Côte-des-Neiges, La maison de la culture de Côte-des-Neiges, LE GRAND VOYAGE, Saidye Bronfman, W.J. Topley

Les Grands Dossiers N0 34 – L’Art de penser – 15 philosophes au banc d’essai

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La-persitance-de-la-memoire
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De Husserl à Heidegger
(Les grands dossiers)
La persistance de la mémoire de Salvador Dalí
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L’art de penser

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.15 philosophes au banc d’essai
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Grands Dossiers N° 34 – mars-avril-mai 2014
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Qu’est-ce que la philosophie ? L’étymologie nous fournit une première réponse : elle est l’amie de la sagesse. Mais qu’est-ce que la sagesse ? Les Anciens la désignaient à la fois comme un savoir et une vertu morale. La philosophie peut donc être vue tantôt comme un « art de vivre » tantôt comme un « art de penser ».

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Ce numéro explore cette seconde voie : y a-t-il une façon de penser proprement philosophique ? Et à quoi conduit-elle ? À une connaissance particulière, distincte des autres modes de connaissance ? À la découverte de la vérité, comme le déclarait Platon ? À l’organisation du savoir, comme le voulait Aristote ? À la quête d’un esprit absolu, comme l’a rêvé Georg Hegel ?

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La philosophie peut être aussi envisagée comme une méthode pour « bien conduire sa raison » (René Descartes), une démarche de clarification de la pensée (Ludwig Wittgenstein), une entreprise de « création de concepts » (Gilles Deleuze). Il y a bien des façons de penser en philosophe. Mais où conduisent-elles ? Et quels résultats peut-on en attendre ?

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Pour le savoir, nous allons mener l’enquête. Une enquête auprès d’une quinzaine de grandes figures de la philosophie, de Socrate à Jacques Derrida. Pourquoi eux et pas d’autres ? Parce qu’ils représentent chacun une conception particulière du savoir philosophique, l’une des voies possibles de l’entreprise philosophique. Et ces quinze façons de penser engagent une vision de la pensée. C’est en cela qu’ils font « référence », ce qui ne signifie pas « révérence ».

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Pour mener cette enquête, nous nous sommes glissés dans la peau d’un profane, à la fois bienveillant et critique. Il ira frapper à plusieurs portes et écoutera avec le souci de comprendre, d’aller au cœur de chaque pensée pour en saisir la puissance et la portée. Toute philosophie se forge autour d’une « intuition première », disait Henri Bergson. Sa tâche consiste donc à saisir l’intuition fondatrice qui a animé chaque auteur, en le resituant dans son époque et son milieu, pour mieux s’imprégner de son projet.

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Mais notre enquêteur n’en restera pas là. Il s’agit aussi de mettre ces pensées à l’épreuve. Car toute pensée a aussi ses zones d’ombre, ses contradictions et ses limites. Voilà pourquoi l’on s’autorise à mettre ces philosophes au « banc d’essai ». Peut-on aujourd’hui encore être platonicien et défendre l’idée de vérités ultimes, être aristotélicien et poursuivre son projet de métaphysique ? Que sont devenues la philosophie analytique, la phénoménologie et la philosophie des sciences un siècle après leur déploiement ?

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L’auteur de cette enquête se nomme Philomène. Qui est-ce ? Un « personnage conceptuel » : un terme inventé par Deleuze pour désigner les personnages fictifs et universels qui font vivre la philosophie. Dans son Discours de la méthode, Descartes se met en scène en train de réfléchir la méthode à suivre pour conduire sa raison. Mais celui qui affirme « je pense donc je suis », ce peut être lui, ce peut être vous, ce peut être moi. Qu’importe ! C’est un « personnage conceptuel » qui se pose une question universelle. Il est un individu anonyme et interchangeable en quête de vérité. De même, quand Montaigne se demande « que sais-je ? » ou Emmanuel Kant « que puis-je connaître ? », chacun peut se glisser dans la peau de ce « je »…

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Philomène ce peut donc être vous, moi, ce peut être n’importe quelle personne de bonne foi qui cherche à comprendre, sans perdre son esprit critique.

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Pourquoi Philomène ? Parce que c’est un prénom qui n’a pas de sexe déterminé (il fut autrefois masculin comme féminin), il n’a pas vraiment d’âge (il en existait à l’époque romaine et encore aujourd’hui). Philomène est un personnage conceptuel, qui envisage de devenir philosophe. Et veut simplement savoir où la philo mène…

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Un bilan positif pour Art Up !

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Un bilan positif pour Art Up !

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Art Up confirme sa place de 1ère foire d’art contemporain en région !

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La foire d’art contemporain de Lille a une fois encore créé l’événement en ce début d’année. 28 000 visiteurs (soit une augmentation de 8% du visitorat) se sont rendus à Lille Grand Palais du 13 au 16 février 2014 pour y découvrir une sélection de 108 galeries et éditeurs internationaux et plus de 550 artistes.

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La 7e édition de cette foire nouvellement nommée Art Up se termine sur des notes très positives. Art Up a tenu sa promesse et son triple objectif : Positionner l’événement dans le calendrier des foires d’art contemporain, assurer une montée en gamme des galeries et lui donner une dimension encore plus internationale. Pari réussi avec 29 galeries étrangères dont 2 nouvelles galeries londoniennes !

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Les galeries sont également fières d’associer leur nom à cette marque de fabrique Art Up et constatent un intérêt grandissant pour l’événement de la part de leur propres clients.* 5600 personnes ont d’ailleurs été accueillies dès le vernissage.  

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Une foire commerciale et conviviale

Art Up est une foire plébiscitée pour sa qualité, mais aussi pour la diversité des galeries, des expressions artistiques et de l’offre proposée. La programmation est également appréciée avec des expositions mettant de jeunes artistes à l’honneur ainsi que des artistes reconnus qui rassemblent tous les publics, à l’image des installations de Bernard Pras qui a fait l’unanimité auprès des petits et des grands.

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La hausse de fréquentation des conférences et des ateliers démontre un réel intérêt de la part des visiteurs. Ce côté pédagogique de la foire permet à Art Up de se différencier en faisant découvrir d’autres facettes du marché de l’art.

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« Art Up est avant tout une foire commerciale qui vise à sensibiliser, échanger ouvertement sur l’art en rencontrant des collectionneurs, des critiques d’art, des conservateurs… Art Up est un rendez-vous convivial apprécié des visiteurs et des exposants. Cette édition a reçu beaucoup d’avis positifs, la montée en gamme des galeries et la nouvelle scénographie y sont certainement pour quelque chose » explique Didier Vesse, Directeur d’Art Up !

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Un chiffre d’affaires en hausse

Avec de nouveaux acheteurs et la présence de collectionneurs avertis tels les membres de l’ADIAF, les galeries sont globalement satisfaites de cette 7e édition avec un chiffre d’affaires en hausse, en témoignent une progression de plus de 9% du nombre d’actes d’achat sur place et les nombreuses promesses de ventes pour les galeries dans les jours et les mois à venir.

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A noter, Art Up continue d’élargir son visitorat au delà de la Métropole Lilloise avec une augmentation du nombre de visiteurs en provenance de la Belgique.

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Classé dans:animation, Art Up !, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, photographie, pictural, réflexion, vernissage Tagged: ADIAF, Art Up, Bernard Pras, Didier Vesse, Lille Grand Palais, Métropole Lilloise, Un bilan positif pour Art Up !, ville de Paris

HOME SWEET HOME. À propos de l’inquiétude‏ / DAZIBAO

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 © Paulette Phillips, The Floating House (2002)
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HOME SWEET HOME

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À PROPOS DE L’INQUIÉTUDE
 
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Une exposition préparée pour Dazibao par Olivia Boudreau et France Choinière
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 DU 27 MARS AU 17 MAI 2014
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28.03.14
19H30
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La maison comme espace physique. La maison comme espace psychique. La maison, symbole serein du bercail, du lieu d’appartenance, de l’intimité, du familier, de la mémoire, de la douceur d’être. La maison, espace de l’isolement, de l’étouffement, de l’hostile, lieu de résonance du mal-être et de ce qui est perturbé. La maison, figure tant de l’équilibre que de son envers, ce point de tension où tout peut basculer.

 

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L’exposition HOME SWEET HOME. À propos de l’inquiétude se construit autour du motif de la maison, du «home», certes pour marquer l’installation de Dazibao à demeure, dans ses nouveaux espaces, mais plus encore comme expression de l’incertitude indispensable à la création, à la poursuite d’une réflexion sur l’art. Ainsi, les œuvres réunies ont en commun de renverser les évidences pour révéler ou figurer ce doute nécessaire, cet état toujours mouvant impropre à la quiétude.

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Pour certaines œuvres, l’incertitude loge dans une insistance à attester de l’histoire. Une histoire pourtant en perpétuelle évolution et dont le récit n’est jamais final, puisque parfois manipulée, effacée ou réinterprétée au gré des époques et des cultures. L’authenticité du document en est trouble, de même que la vérité historique et parfois même, purement et simplement, l’existence de ce qui est donné à voir. Afin de mitiger ce doute, d’autres œuvres utilisent l’image pour témoigner d’une identité, d’un rôle social, de l’appartenance à une collectivité ou plus abstraitement comme tentative, à tout le moins conceptuellement, de contrôler son environnement. Laissant poindre l’imprévisible et l’irrégulier comme forme de résistance aux conventions.

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L’incertitude se manifeste aussi par des œuvres qui, en brouillant les rapports entre réel et imaginaire, se jouent de nos perceptions, lançant une invitation à figurer le sens caché des choses. Rendu invisible, l’écart entre le réel et le factice devient un espace pour confronter ses désirs, ses secrets, ses craintes les plus intimes. Par l’inconfort qu’elles suscitent, certaines œuvres parviennent même à bloquer tout sentiment d’identification et toute possibilité de vivre une expérience par procuration.

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Enfin, d’autres œuvres figurent l’état d’incertitude formellement. Parfois en déréglant notre rapport habituel au temps par l’utilisation d’un montage en rupture de toute continuité convenue ou encore par des mises en scène qui, dans la durée, deviennent insupportables, oppressantes. D’autres fois, par des déplacements lents de caméra qui installent et maintiennent d’une manière insidieuse le malaise ou finalement par la fixité persistante d’une image qui devrait changer, qui devrait bouger, pour laisser libre cours à la narrativité qui lui semble implicite.

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HOME SWEET HOME. À propos de l’inquiétude rassemble le travail de plus de vingt-cinq artistes du Québec, du Canada et de l’étranger. Le projet consiste en une exposition en galerie, une exposition vidéo en salle de projection, des œuvres monumentales installées dans la ville et une publication pour laquelle deux œuvres textes ont été spécialement créées par Rob Kovitz et Christof Migone. Y sont réunies des œuvres photographiques, vidéographiques, filmiques, performatives, installatives et sonores qui déploient les multiples usages de l’image dans l’art contemporain. Faisant fi de tout recensement, historique ou autre, et de toute chronologie, se côtoient librement dans ce projet des œuvres qui éclairent tout autant le passé que le présent et laissent présager du futur des pratiques de l’image – mais bien entendu sans certitudes.

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Artistes
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Raymonde April, Juan Betancurth, Johanna Billing, Matthew Buckingham, Jennifer Campbell, Nancy Davenport, Bettina Hoffmann, Joseph Ismail, Patrick Jolley & Reynold Reynolds, Mazen Kerbaj, Thomas Kneubühler, Rob Kovitz, Søren Lose, Maria Marshall, Christof Migone, Gunvor Nelson, James Nizam, ONF, Anne Parisien, Paulette Phillips, William Raban, Gisela Restrepo,  Ben Rivers, Jon Sasaki, Ron Terada et Chih-Chien Wang
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HOME SWEET HOME. À PROPOS DE L’INQUIÉTUDE
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THE EXHIBITION IS SHOWN
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FROM MARCH 27 TO MAY 17, 2014
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The home as physical space. The home as psychic space. The home as serene symbol of the fold, the place of belonging, privacy, the familiar, memory and the sweetness of being. The home as the space of isolation, suffocation and hostility, the place where malaise and what is disturbed resonate. The home, a symbol of both equilibrium and its opposite, the pressure point where everything can tip over.

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The exhibition HOME SWEET HOME: À propos de l’inquiétude is built around the motif of the home, first of all to mark Dazibao’s permanent new space, but also as an expression of the uncertainty necessary to creation and to the pursuit of thinking about art. What the works brought together thus share is the way they turn the obvious upside down to reveal or give form to this necessary doubt, this constantly shifting state unsuited to quietude.

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For some works of art, uncertainty is located in their insistence on bearing witness to history. A history that is constantly evolving and whose narrative is never final, as it can be manipulated, obliterated or reinterpreted at different times by different cultures. The authenticity of the document in this history is murky, as are historical truth and even, sometimes, the existence of what is seen, pure and simple. To mitigate this doubt, other works use the image to testify to an identity, to a social role, to a sense of belonging to a community or more abstractly as an attempt, at least conceptually, to control one’s environment. They let the unpredictable and the irregular break through like a form of resistance to conventions.

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Uncertainty also appears in works which, by blurring the relations between the real and the imaginary, play on our perceptions and launch an invitation to seek the hidden meaning of things. Made invisible, the gap between the real and the factitious becomes a space for confronting one’s innermost desires, secrets and fears. Some works, through the discomfort to which they give rise, even manage to block any feeling of identification and any possibility of experiencing by proxy.

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Finally, other works embody a state of uncertainty formally—at times by upsetting our usual relation to time through the use of forms of montage that break with any established continuity, or through a mise en scène which, over time, becomes unbearable and oppressive. At other times this is achieved through the slow movement of the camera to establish and maintain malaise by insidious means, or, finally, through the persistent fixity of an image which must change, which must move, to give free passage to the narrative that seems implicit in it.

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HOME SWEET HOME: À propos de l’inquiétude brings together the work of more than twenty-five artists from Quebec, Canada and abroad. The project consists of a gallery exhibition, a video exhibition in the screening room, monumental works in the city and the present publication, for which two texts were specially created by Rob Kovitz and Christof Migone. These elements of the event include works in photography, video, film, performance, installation and sound art which explore various uses of the image in contemporary art. Scorning any inventory, historical or otherwise, and any chronology, the project freely associates works which inform both the past and the present of image practices and portend their future—but of course without any certainty.

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Artistes
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Raymonde April, Juan Betancurth, Johanna Billing, Matthew Buckingham, Jennifer Campbell, Nancy Davenport, Bettina Hoffmann, Joseph Ismail, Patrick Jolley & Reynold Reynolds, Mazen Kerbaj, Thomas Kneubühler, Rob Kovitz, Søren Lose, Maria Marshall, Christof Migone, Gunvor Nelson, James Nizam, ONF, Anne Parisien, Paulette Phillips, William Raban, Gisela Restrepo,  Ben Rivers, Jon Sasaki, Ron Terada et Chih-Chien Wang
 
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DAZIBAO
5455, avenue de Gaspé,
rez-de-chaussée – espace 109,
Montréal (Québec)

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RADIO-CANADA ET ICI ARTV FIERS PARTENAIRES DU 29e GRAND PRIX DU CONSEIL DES ARTS DE MONTRÉAL

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Image : Radio Canada
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RADIO-CANADA ET ICI ARTV

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FIERS PARTENAIRES DU 29e GRAND PRIX
DU CONSEIL DES ARTS DE MONTRÉAL
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Associée au Grand Prix du Conseil des arts de Montréal depuis 1994, Radio-Canada est fière d’en être le partenaire officiel depuis 2009 et de voir sa chaîne culturelle ICI ARTV se joindre cette année encore à cette célébration de la vitalité culturelle de Montréal.

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La culture est dans l’ADN de Radio-Canada depuis sa fondation. Elle s’exprime dans toutes les créations de notre programmation dramatique et musicale, sur toutes les plateformes. Elle rayonne entre autres à travers les reportages quotidiens de Tanya Lapointe au Téléjournal Grand Montréal 18 h, les chroniques culturelles quotidiennes d’ICI RDI, la programmation d’ICI ARTV et d’Espace musique, les nombreuses émissions culturelles d’ICI Radio-Canada Première, la grande section Arts et divertissements d’ICI.Radio-Canada.ca, les Révélations d’Espace.mu et les prix littéraires de Radio-Canada. Sans oublier les grands événements artistiques et culturels auxquels Radio-Canada s’associe chaque année pour faire rayonner la culture d’ici.

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« Les organismes petits, moyens et grands qui permettent aux créateurs, artistes et interprètes de toutes disciplines d’exprimer leur talent jouent un rôle crucial dans notre vie culturelle. C’est dire l’importance du Grand Prix du Conseil des arts de Montréal, qui souligne cette contribution », déclare le vice-président principal de Radio-Canada, Louis Lalande, qui ajoute : « Nos plateformes sont également mobilisées en ce sens pour contribuer à l’essor et à la diffusion de la culture sous toutes ses formes, partout au pays. C’est une mission et une contribution absolument essentielles du diffuseur public. »

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Depuis sa fondation, ICI ARTV contribue de manière exceptionnelle à la culture d’ici. « Notre association avec le Grand Prix du Conseil des arts de Montréal nous permet de réaffirmer notre position de leader dans l’industrie culturelle. En s’impliquant dans les milieux de la musique, du cinéma, des arts de la scène, de la littérature, du théâtre, en passant par la BD, l’art contemporain et les arts numériques, ICI ARTV poursuit sa mission de stimuler la création et fait briller les artistes d’ici et leurs œuvres et ce, sur toutes les plateformes de la chaîne », soutient la directrice générale des chaînes spécialisées de Radio-Canada, Marie Côté. À la télévision, sur le web et à l’ARTVstudio, les artistes nous éblouissent sur ICI ARTV.

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 Tou.tv

Application androide

 Application androide
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« Berlin – Le Passage du temps» Une installation vidéo signée Pierre Hébert

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« Berlin – Le Passage du temps»

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Une installation vidéo signée

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Pierre Hébert

Vernissage et rétrospective
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mMardi 25 mars  2014
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à l’occasion du FIFA
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Vidéographe est fier d’annoncer que le mois de mars verra une programmation multiple du cinéaste d’animation Pierre Hébert dans différents pays, lieux et festivals. Ses oeuvres, distribuées par Vidéographe, seront présentées à Paris et à Montréal. Du Forum des images (Paris), à la Cinémathèque québécoise et au FIFA à Montréal, le travail de Pierre Hébert sera exposé et projeté pour le plaisir de tous.

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Le Forum des Images à Paris a inauguré cette période en accueillant Berlin – Le Passage du temps dans le cadre d’un cycle dédié à la capitale Berlinoise Berlin Magnétique. L’exposition se tient du 1er mars au 20 avril, accompagnée d’une conférence donnée par Pierre Hébert sur le thème « animation et expression instrumentale dans le projet Lieux et monuments ».

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De retour à Montréal, la Cinémathèque québécoise, en collaboration avec le Festival International du Film sur l’Art (FIFA), présente l’installation du 13 mars au 29 juin, au coeur du Foyer Luce-Guilbeault. Berlin – Le Passage du temps fait ainsi partie de la programmation du festival et fera l’objet d’un événement spécial le mardi 25 mars avec un vin d’honneur à 17h à la Cinémathèque québécoise, suivi d’une projection à 18h30 de l’ensemble des films « Lieux et monuments » et de la mise en ligne de la version web de l’installation, en présence du cinéaste Pierre Hébert.

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Lors de cette rétrospective Lieux et monuments, six oeuvres initiées entre 2005 et 2013 seront présentées: La statua di Giordano Bruno (2005), Herqueville (2007), Praha-Florenc (2010), Place Carnot – Lyon (2011), Rivière au tonnerre (2011) et John Cage – Halberstadt (2013), en complément à la nouvelle installation vidéo Berlin – Le passage du temps (2014).

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Berlin – Le Passage du temps (Lieux et monuments – 6)

Des vues de la ville composent un panorama combinatoire sur quatre écrans: des images de monuments, de traces de l’histoire ou de la simple vie quotidienne, recomposées par des manipulations numériques dans le but d’altérer les regards et de créer une allégorie du temps qui passe.

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Un travail complètement inhabituel et original, soit mixer un par un quatre films en boucle de longueurs inégales (12, 10, 9 et 7 minutes) qui sont prévus pour jouer en même temps sur quatre écrans plats placés côte à côte avec des rapports entre les images et les sons qui, à cause des décalages, changent à chaque tour de boucle. En résulte une oeuvre ouverte à une infinité de possibilités.

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Récente création de Pierre Hébert, Berlin – Le passage du temps fait partie de la série de vidéos Lieux et monuments, un projet qui potentiellement englobe l’humanité. L’idée est de tourner, un peu partout dans le monde, des scènes de la vie quotidienne telles qu’elles se déroulent autour de monuments ou de n’importe quoi d’autre qu’on peut considérer comme des marqueurs de temps, d’histoire, de mémoire et d’oubli, et de constituer ainsi une certaine image du temps présent. Le but est que l’ensemble des films deviennent une sorte de monument du monde. La notion de monuments est donc ici à la fois très large, très modeste et très ambitieuse.

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4 Extraits / Berlin – Le passage du temps :m

.Bertolt-Brecht-Platz: https://vimeo.com/87526140

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À propos du cinéaste Pierre Hébert

Anciennement de l’Office national du film du Canada, où il a réalisé, entre 1965 et 1999, une vingtaine de courts métrages d’animation et un long métrage (La Plante humaine, prix du meilleur long métrage de l’année 1996), Pierre Hébert est maintenant cinéaste et artiste indépendant. Depuis 2001, il a parcouru le monde avec son collègue musicien Bob Ostertag pour présenter plus de 80 fois la performance d’animation en direct Living Cinema. Il a également travaillé avec plusieurs autres musiciens dont Fred Frith, Lori Freedman, Stefan Smulovitz et Robert Marcel Lepage. En 2005, il a été récipiendaire du prix du Québec Albert Tessier pour l’ensemble de son oeuvre. Depuis quelques années, son principal projet est la série de films Lieux et monuments, pour lequel il a reçu en 2012 la prestigieuse bourse de carrière du Conseil des arts et des lettres du Québec. Berlin – Le passage du temps et la toute récente création de cette série.

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Cinémathèque québécoise
335, boul. de Maisonneuve Est
Montréal (Québec)
H2X 1K1
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Heures d’ouverture
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Mardi : 12 h à 18 h
Mercredi à vendredi : 12 h à 20 h
Samedi et dimanche : 16 h à 20 h
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La Cinémathèque québécoise, c’est le musée de l’image en mouvement à
Montréal. Sa mission est de sauvegarder le patrimoine audiovisuel mondial, en
privilégiant les œuvres québécoises, canadiennes et le cinéma d’animation
international, pour le mettre en valeur à des fins culturelles et éducatives.
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, réflexion, vernissage, Vidéo, Vidéos Tagged: Albert Tessier, « animation et expression instrumentale dans le projet Lieux et monuments », « Berlin – Le Passage du temps», « Berlin – Le Passage du temps» Une installation vidéo signée Pierre Hébert, Bertolt-Brecht-Platz, Bob Ostertag, Cinémathèque québécoise, Festival International du Film sur l’Art, FIFA, Fred Frith, Le Forum des Images à Paris, Lori Freedman, OFFICE NATIONAL DU FILM DU CANADA, Pierre Hébert, Potsdamerplatz, Robert Marcel Lepage, Schlossplatz, Stefan Smulovitz, Tempelhof

Rencontres internationales du documentaire de Montréal à Québec / Cinéma Cartier

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Rencontres internationales du documentaire
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de Montréal à Québec

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Du 2 au 6 avril 2014 
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au Cinéma Cartier
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Les Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) sont heureuses de s’associer pour la première fois à Antitube, diffuseur d’événements cinéma et vidéo à Québec depuis 1995, afin de présenter la dixième édition des RIDM à Québec du 2 au 6 avril 2014 au Cinéma Cartier.

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Pour l’occasion, les RIDM ont le plaisir de présenter une sélection de courts et de longs métrages, faite sur mesure pour les amateurs de documentaires de Québec. Le film Le semeur sera présenté en ouverture, le 2 avril prochain, en présence de la réalisatrice Julie Perron et du protagoniste du film Patrice Fortier.

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Le public aura également l’occasion d’échanger avec les cinéastes des films Appel à l’anxiété générale! (Helene Klodawsky) et Night Labor (Ashley Sabin et David Redmon). Le meilleur du documentaire international sera représenté avec Mirage à l’italienne de la réalisatrice italienne Alessandra Celesia, E agora? Lembra-me (Grand prix de la compétition internationale longs métrages aux RIDM) du Portugais Joaquim Pinto, Dusty Stacks of Mom : The Poster Project de l’Américaine Jodie Mack, ainsi que les courts-métrages The Blazing World de Jessica Bardsley, Magnetic Reconnection de Kyle Armstrong et la mémorable trilogie du cinéaste italien Yuri Ancarani (Il capo, Piattaforma Luna et Da Vinci). Le samedi 5 avril à 15h, la productrice québécoise Raphaëlle Huysmans présentera le webdocumentaire multi-primé Fort McMoney de David Dufresne. Le cycle des RIDM à Québec se terminera en beauté le dimanche 6 avril à 19h avec Vers Madrid (The Burning Bright)! du réalisateur français Sylvain George.

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Ces cinq jours sont l’occasion non seulement de voir parmi les meilleurs documentaires de la programmation 2013 des RIDM, mais aussi de découvrir des courts métrages spécialement programmés pour l’édition : Il y a un ciel magnifique et tu filmes Angèle Bertrand de Justine Harbonnier et H2T de Charles-André Coderre.

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Seul festival au Québec entièrement dédié au documentaire, les Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) offrent au public le meilleur du cinéma du réel en rassemblant les grands auteurs et les nouveaux talents à découvrir. Les RIDM sont de retour à Montréal du 12 au 23 novembre 2014.

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Cinéma Cartier
1019 Avenue Cartier
Québec, QC
(418) 522-1011
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Hey ! No 17

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 Hey!
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No 17
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HEY! Modern Art & Pop Culture, une proposition unique en Europe !
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Le prestigieux quotidien Le Monde écrivait : « HEY ! ou l’actuelle avant-garde », suivi par une grande partie de la presse généraliste et spécialisée. En 2011 et 2013, la revue fut invitée par le musée de La Halle St Pierre pour faire le commissariat d’expositions présentant les artistes internationaux qu’elle défend dans ses pages. La dernière exposition a reçu plus de 85 000 visiteurs ! Devant ce succès, c’est maintenant le musée international du Quai Branly qui invite Anne & Julien en 2014-2015 pour le commissariat de l’exposition « Tatoueurs, Tatoués ». 
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Relayant la scène urbaine et graphique dans ses grandes largeurs, offrant aux lecteurs des interviews fouillées et des visuels rarement imprimés dans une telle qualité, le tout mis en scène par une maquette toujours plus dynamique, HEY! fait preuve d’une vision artistique résolument moderne et originale.

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Au sommaire de ce numéro 17 : Easy Sacha, Rita Mercedes, Daniel Martin Diaz, Tatoueurs, tatoués, Jessicka Addams, Sabine Gaffron, Fred Stonehouse, Randal Levenson… et bien d’autres encore !

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