© Brendan Flanagan, Isabelle Guimond, Gabrielle Lajoie-Bergeron, Jenna Meyers, Corri-Lynn Tetz, Noémie Weinstein
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six peintres-deux écoles-trois lieux-une rencontre
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Pour débuter la saison 2014, la Galerie B-312 vous convie à une exposition réunissant six finissants à la maîtrise en arts visuels de Concordia et de l’UQAM. Tous ont choisi la peinture. Pour cette occasion, trois lieux vous proposent de prendre la mesure de la pratique telle qu’elle est explorée par cette nouvelle génération d’artistes. La Galerie B-312 est très heureuse de s’associer à la Galerie Lilian Rodriguez et de compter sur la complicité de la Galerie de l’UQAM pour ce projet d’envergure, de même qu’avec les artistes Christine Major et Eliza Griffiths, professeures à l’UQAM et à Concordia et Marthe Carrier, directrice de la Galerie B-312. La Galerie remercie chaleureusement tous ses partenaires de leur précieuse collaboration.-SIX PEINTRES-Disons-le d’entrée de jeu : les choix sont non exhaustifs. Ils rassemblent plus qu’ils ne dictent. Des partis pris se dessinent. Ainsi, cinq des six étudiants ont d’abord choisi leurs directrices de maîtrise. À leur tour, elles les ont invités à se confronter à leurs vis-à-vis. Aussi, pour trois des artistes participants, cette exposition est l’aboutissement de leur recherche ; un mémoire qu’ils défendront en cours d’exposition.-PRENDRE LA MESURE- À même ce foisonnement d’œuvres et de propositions, y reconnaîtra-t-on une école, une manière de penser ou de faire la peinture ? Un état des lieux est-il possible ? Comment se positionne-t-on aujourd’hui quand on entreprend d’explorer cette pratique, avec toute la charge historique qu’elle traîne dans son sillage ? Pourquoi un tel souci de tradition disciplinaire dans le contexte du « métissage » actuel ?-ESTOMPER LES LIMITES-L’UQAM, la francophone, Concordia, l’anglophone. Une galerie privée, une galerie universitaire, un centre d’artistes. À cette étape de la recherche, peut-on vraiment différencier les écoles d’enseignement ? Si oui, à quoi cela tient-il ? En quoi se distinguent les lieux qui accueillent les pratiques ? Ont-ils une incidence sur l’énonciation des discours ou la réception des œuvres ?-UNE RENCONTRE-Pour permettre de creuser les problématiques soulevées par ce projet et par les œuvres présentées, nous vous convions à une table ronde réunissant les artistes, les commissaires, Lilian Rodriguez et Louise Déry. Des discussions animées, avec traduction libre simultanée, risquent de vous en faire voir de toutes les couleurs. Une exposition et un rendez-vous à ne pas manquer !
1 Il est intéressant de rappeler qu’aux premières années du Belgo, vers la fin des années 80, les espaces maintenant occupés par les galeries Lilian Rodriguez et B-312 n’étaient alors qu’un immense local, disponible pour des locations ponctuelles, que les artistes prenaient plaisir à investir. De fait, c’était alors un lieu prisé de tous, qui permettait d’accueillir une gamme étendue de pratiques dans un environnement impressionnant, ne serait-ce que par la superficie et la fenestration généreuses qu’il offrait. Nous nous proposons de le réinvestir le temps d’une exposition. Pour sa part, la petite salle de la Galerie de l’UQAM est presqu’exclusivement dédiée aux projets de fin d’études des finissants à la maîtrise en arts visuels et médiatiques. On pourra y voir le travail de Isabelle Guimond.
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Classé dans:animation, art visuel, Arts visuels, exposition, installation, pictural, réflexion, vernissage Tagged: arts visuels et médiatiques à l’UQAM, édifice le belgo, Brendan Flanagan, Corri-Lynn Tetz, Gabrièlle Lajoie-Bergeron, Galerie B-312, Galerie Lilian Rodriguez, Louise Déry, Marthe Carrier, six peintres-deux écoles-trois lieux-une rencontre
