Pierre-Paul Pariseau – La métamorphose des apparences / Salle de diffusion de Parc-Extension

Du 2 juillet au 31 août, la maison de la culture de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension invite les résidents de l’arrondissement à visiter gratuitement l’exposition La métamorphose des apparences afin de plonger dans l’univers de Pierre-Paul Pariseau, un illustrateur montréalais reconnu. Présentée à la salle de diffusion de Parc-Extension, l’exposition regroupe une trentaine d’oeuvres, le meilleur du travail de l’artiste depuis 2006.

.

Les illustrations de Pierre-Paul Pariseau se démarquent par les lieux colorés qu’elles dévoilent et par la juxtaposition de motifs qui fait émerger un monde où tout est possible. Évoquant le surréalisme et le pop art, ses oeuvres sont créées au moyen d’une technique mixte alliant les procédés du collage, de la peinture acrylique, de l’aquarelle et du crayon, combinés à l’utilisation du logiciel Photoshop. Du coq à l’âne : un projet de médiation culturelle pour les 6 à 12 ans Inspirée par l’exposition, l’équipe du programme Hors les murs de la maison de la culture a conçu un projet de médiation culturelle destiné aux jeunes qui fréquentent les clubs de vacances et les camps de jour de l’arrondissement. Au cours d’un atelier amusant, les jeunes pourront découvrir la démarche de l’artiste ainsi que les étapes de la création d’un collage. À propos de Pierre-Paul Pariseau

.

Depuis 2009, Pierre-Paul Pariseau participe à des expositions solos et collectives, tant en Amérique du Nord qu’en Europe. On peut voir ses images dans les journaux, les magazines, un livre pour enfant de même que sur des couvertures de livres, des affiches, des cartes et des pochettes de disques compacts. Sa créativité et son style unique lui ont valu de nombreuses récompenses, notamment des prix de la Society of Illustrators (États-Unis), de l’Association canadienne des créateurs professionnels de l’image (C.A.P.I.C.) et de Images (Les meilleures illustrations britanniques).

.

.

http://pierrepaulpariseau.com

.

.

.

.

.

.

.